27 Juin 2011 09:07
IRIB- Le 26 juin est baptisé la Journée mondiale de l’interdiction de la torture et du soutien à ses victimes", c'est l'ONU qui en a décidé, ainsi, en 1997. Le monde est, pourtant, témoin des crimes et des atrocités qui se déroulent, quotidiennement, dans les prisons du régime sioniste. Le rapport choquant du ministère palestinien des Prisonniers, publié, le même jour, fait état de la pratique de la torture, à l'encontre de 7.000 prisonniers, n'y épargnant même pas les enfants. Ce rapport ajoute: "La pratique de la torture ne se limite pas, seulement, à 'obtention des aveux, mais les agents israéliens offensent les prisonniers dans leur identité et personnalité". La pratique de 100 méthodes de tortures physiques et psychiques contre les prisonniers palestiniens n’est qu’une partie des crimes du régime sioniste qui, en toute impunité, fait fi des droits de l’Homme et des Conventions internationales, d'autant plus que nombreux sont les prisonniers palestiniens qui passent des années et des années, en prison, sans même savoir quelle est leur faute. Des méthodes dignes de l'époque médiévale pratiquées par le régime barbare de Tel-Aviv, comme la flagellation avec des câbles, l'isolement des prisonniers dans de très petites cellules sombres, les privant de lumière et de repas suffisants, ont fait que beaucoup de prisonniers soient atteints de maladies incurables. Les images prises par les militaires sionistes, pendant la torture des prisonniers et le viol des enfants palestiniens, prouvent la férocité des actes inhumains des Israéliens, dont ils sont fiers. Des années avant la nomination de la Journée de l’interdiction de la torture, le monde avait annoncé, à travers la Convention de Genève, en 1949, que la vie et les biens des peuples sous occupation doivent être protégés par les forces d’occupation, alors que le régime sioniste, tout en négligeant cette convention, enlève les Palestiniens et les torture dans ses geôles. L’intéressant, c’est que la Cour suprême du régime sioniste autorise la pratique de tortures, à l’égard des Palestiniens. Un tel ensemble vient à l'appui de cette vérité que l’entité sioniste se nourrit de tyrannie et d’injustice, d'où la détention, la torture, et le déplacement des Palestiniens, qui sont toujours victimes des crimes israéliens, après 63 ans d’occupation de leur patrie.