17/02/2011 | 23h13
Le chef de la diplomatie israélienne Avigdor Lieberman pourrait être bientôt inculpé pour blanchiment d'argent mais ne serait pas poursuivi pour corruption, rapportent jeudi des médias israéliens.
Le ministère public envisage d'inculper M. Lieberman pour blanchiment d'argent et fraudes, mais ne dispose pas de suffisamment de preuves pour l'inculper de corruption, un chef d'accusation plus grave, rapporte notamment la radio publique.
Le ministère public envisage d'inculper M. Lieberman pour blanchiment d'argent et fraudes, mais ne dispose pas de suffisamment de preuves pour l'inculper de corruption, un chef d'accusation plus grave, rapporte notamment la radio publique.
La police avait recommandé en août 2009 l'inculpation de M. Lieberman pour corruption, blanchiment d'argent et obstruction à la justice dans le cadre d'une enquête sur le versement occulte de 2,5 millions de dollars via des sociétés écran et comptes bancaires pour financer ses campagnes électorales.
Le dirigeant du parti ultranationaliste Israël Beiteinou s'était engagé à l'époque à démissionner de ses fonctions s'il était inculpé pour corruption.
La décision d'inculper ou non le ministre doit être prise à la fin du mois par le conseiller juridique du gouvernement Yéhouda Weinstein qui a les fonctions de procureur général.
M. Lieberman, qui a été l'objet de plusieurs enquêtes depuis 1996, a nié toute malversation, affirmant que les enquêtes dont il était l'objet étaient politiquement motivées.
Le dirigeant du parti ultranationaliste Israël Beiteinou s'était engagé à l'époque à démissionner de ses fonctions s'il était inculpé pour corruption.
La décision d'inculper ou non le ministre doit être prise à la fin du mois par le conseiller juridique du gouvernement Yéhouda Weinstein qui a les fonctions de procureur général.
M. Lieberman, qui a été l'objet de plusieurs enquêtes depuis 1996, a nié toute malversation, affirmant que les enquêtes dont il était l'objet étaient politiquement motivées.