[ 03/01/2011 - 12:11 ] |
|
Al-Nassera (Nazareth) – CPI Les forces de l'occupation sioniste ont de nouveau utilisé le mois dernier des bombes de gaz lacrymogène de type mortel alors qu’elles sont interdites depuis deux ans, après avoir causé le martyre de nombreux citoyens Palestiniens de la famille d'Abou Rahma. Des sources de la presse hébreu ont dévoilé que les forces occupantes avaient décidé en décembre dernier d’arrêter l’utilisation de ce genre de bombes de gaz lacrymogène qualifiées de « mortelles », car elles ont gravement blessé de nombreux citoyens palestiniens et tué plusieurs autres. Ce genre de bombes est très différent des types réguliers de bombes de gaz lacrymogène utilisées pour disperser les manifestants, car elles sont « très dangereuses et mortelles ». Dans le même contexte, l'organisation "Médecins pour les droits de l'homme" qui travaille dans les territoires palestiniens occupés en 1948 a appelé l'armée sioniste à ne pas utiliser les bombes de gaz lacrymogène contre les citoyens palestiniens qui participent à des manifestations pacifiques. Cela fait suite au martyre de la citoyenne palestinienne, Gawaher Abou Rahma, du village de Bilin à l'ouest de la ville de Ramallah, dans le centre de la Cisjordanie occupée, qui a succombé à ses blessures vendredi dernier lors de la répression des forces occupantes contre la manifestation hebdomadaire de Bilin contre le mur raciste sioniste et la colonisation. Les forces occupantes ont ouvert le feu et ont lancé de nombreuses bombes de gaz lacrymogène sur les manifestants, causant l'asphyxie d'Abou Rahma, qui a été transportée à l'hôpital où elle est tombée en martyre le lendemain matin. |