27 Décembre 2010 09:32
IRIB - Y aurait-il un terme au calvaire de la population deux fois martyre de Gaza? Une, car elle est palestinienne, et deux, parce qu'elle habite Gaza, cette grande prison à ciel ouvert, qui est la région la plus surpeuplée au monde. Deux ans après le "Plomb durci", deux ans après 22 jours de mort et de destruction, après 22 jours d'offensive sauvage de l'armée israélienne contre la ville martyre de Gaza, la tragédie palestinienne n'est pas encore à son dernier acte. La gamme de pénuries de toutes sortes et de toutes couleurs, depuis les denrées alimentaires jusqu'aux médicaments et au carburant, ne leur suffisant pas, les habitants de Gaza, dont la plupart, vivent sous des tentes ou des abris de fortune, leurs maisons ayant été détruites, dans les bombardements sauvages de l'aviation israélienne, doivent, aussi, affronter le froid de l'hiver, un hiver qui s'annonce froid, sombre et glacial, pour les Palestiniens de Gaza, qui restent, pourtant, toujours fermes et pugnaces, dans leur résistance, quoique le régime sioniste ne lésine sur rien pour les faire plier. Les habitants de Gaza vivent au rythme d'une guerre d'érosion, plus dure et éprouvante, que celle de 22 jours, avec sa cohorte de pénuries en tout genre, de coupures d'électricité, de misère. Les Sionistes invitent le monde célébrant le nouvel an chrétien à une autre tragédie humaine!