09 Décembre 2010 14:12
IRIB - “Un réseau israélien achète de la drogue d’un certain pays arabe et la fourre dans les friandises introduites, clandestinement, dans le marché libanais”.
Tel est l’avis juridique présenté, depuis juin dernier, par le député du Courant Patriotique Libre, Nabil Nkoula, au Procureur général, le juge Saïd Mirza, qui, à ce jour, n’a pas fourni de réponse. Nkoula avait évoqué cette affaire, lors de sa dernière conférence de presse, demandant à Mirza: "Pourquoi le parquet général ne s’est-il pas mobilisé pour enquêter sur ces mesures israéliennes visant à nuire à la société libanaise, en créant toute une génération d’adolescents toxicomanes, à travers les friandises?"A l'origine, révèle le député aouniste, c'est une société européenne qui a envoyé, comme d’habitude, ses agents secrets, au Liban, pour tester ses produits, et déterminer la date d’expiration et d'autres critères. Lors des tests, au laboratoire, ils ont détecté des matières étranges, dans ces friandises, et après en avoir envoyé des spécimens à la société mère, il s’est avéré que ces matières ne sont autres que de la drogue qui provoque une toxicomanie irréversible. Selon les sources de l’enquête, "c'est un réseau israélien qui achète la drogue d’une mafia locale d’un pays arabe, la fourre dans ses friandises et les exporte, illégalement, sans la connaissance de la société productrice". De son côté, la société européenne a informé les services internationaux chargés de lutter contre ces crimes, qui ont, ensuite, avisé les services des ambassades européennes, dans la région, pour mettre la main sur les sources de ces produits. A ce sujet, Nkoula a rappelé à Mirza des termes de la Convention internationale arabe, signée, par le Liban, sur la défense commune contre le crime. Celle-ci stipule l’établissement d’un bureau juridique pour la lutte contre la drogue et fixe la procédure de la coordination arabe.
« Il faut donc se renseigner d’un (certain pays arabe) sur la teneur de ces informations. », a fait savoir le député aouniste, précisant que ces informations sont une transgression de la Convention des Nations unies pour la lutte contre le trafic illégal de la drogue et des stupéfiants.
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Tel est l’avis juridique présenté, depuis juin dernier, par le député du Courant Patriotique Libre, Nabil Nkoula, au Procureur général, le juge Saïd Mirza, qui, à ce jour, n’a pas fourni de réponse. Nkoula avait évoqué cette affaire, lors de sa dernière conférence de presse, demandant à Mirza: "Pourquoi le parquet général ne s’est-il pas mobilisé pour enquêter sur ces mesures israéliennes visant à nuire à la société libanaise, en créant toute une génération d’adolescents toxicomanes, à travers les friandises?"A l'origine, révèle le député aouniste, c'est une société européenne qui a envoyé, comme d’habitude, ses agents secrets, au Liban, pour tester ses produits, et déterminer la date d’expiration et d'autres critères. Lors des tests, au laboratoire, ils ont détecté des matières étranges, dans ces friandises, et après en avoir envoyé des spécimens à la société mère, il s’est avéré que ces matières ne sont autres que de la drogue qui provoque une toxicomanie irréversible. Selon les sources de l’enquête, "c'est un réseau israélien qui achète la drogue d’une mafia locale d’un pays arabe, la fourre dans ses friandises et les exporte, illégalement, sans la connaissance de la société productrice". De son côté, la société européenne a informé les services internationaux chargés de lutter contre ces crimes, qui ont, ensuite, avisé les services des ambassades européennes, dans la région, pour mettre la main sur les sources de ces produits. A ce sujet, Nkoula a rappelé à Mirza des termes de la Convention internationale arabe, signée, par le Liban, sur la défense commune contre le crime. Celle-ci stipule l’établissement d’un bureau juridique pour la lutte contre la drogue et fixe la procédure de la coordination arabe.
« Il faut donc se renseigner d’un (certain pays arabe) sur la teneur de ces informations. », a fait savoir le député aouniste, précisant que ces informations sont une transgression de la Convention des Nations unies pour la lutte contre le trafic illégal de la drogue et des stupéfiants.
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