[ 13/10/2010 - 13:17 ] |
|
Al Qods occupée - CPI Le centre d’Al Qods occupée pour les droits sociaux et économiques, a confirmé que le fait de menacer d’arrêter de nouveau plus d’enfants du village de Selwan ne changera pas la réalité de la détention quotidienne à ce village, affirmant que les autorités occupantes ont enlevé depuis le début de cette année plus de 600 personnes dont une moitié à Selwan, au moment où la police n’a pas hésité d’utiliser des unités clandestines vêtements d'infiltration vêtues d’aspect féministe pour poursuivre ces enfants, les arrêter et torturer. Dans une déclaration à la presse, le Centre a décrit les menaces lancées par le ministre de la Sécurité Intérieure sioniste pour l’arrestation de plusieurs enfants de Selwan et d’adopter des mesures sévères contre leurs parents, comme «une escalade dans les agressions commises quotidiennement par les colons sionistes, la police et les différents groupes sécuritaires occupants contre les habitants du village, en particulier ses enfants. « Le ministre raciste a ignoré complètement les opérations de meurtres, de tortures qui sont presque quotidiennement et qui sont attribués aux colons extrémistes, plus récemment l’écrasement de deux innocents enfants de Selwan à la vue des médias par l’extrémiste David Perry, chef de l'Association "Elad" de règlement », a protesté le centre contre le racisme du ministre sioniste. Il a ajouté : « En plus l’assassinat commis, avec du sang-froid, par l'agent de sécurité contre le jeune palestinien Samer Sarhan, et dans les deux cas, la police a libéré les deux criminels, en prétendant des justifications pour l'autodéfense ». Le communiqué a également rapporté: «C’était mieux pour le ministre Ohronovic de se pencher sur les raisons pour lesquelles les enfants de Selwan manifestent et protestent, et de chercher de solutions radicales pour stopper les attaques de sa police et les colons extrémistes sur les enfants et leurs familles au lieu de menacer de prendre des mesures strictes contre les lanceurs de pierres et de leurs familles", tout en confirmant que le principale problème cancérigène est le colonialisme, les violations, crimes, pratiques oppressives et restrictions sauvages de l’ennemi occupant contre tout ce qui est palestinien. |