La police palestinienne a empêché un rassemblement organisé à initiative de plusieurs organisations de gauche pour protester contre les négociations directes qui devraient débutées le mois prochain.
Ces organisations de gauche donnait une conférence après avoir manifester, quand ils ont été attaqués par la police. Les officiers de police s'en sont pris à trois journalistes qui travaillent pour Watan, une télévision locale, leur confisquant leur caméras ainsi que leurs enregistrements.
Le député Rowhi Maluh, secrétaire général Front Populaire pour la Libération de la Palestine (FPLP) a confié à PNN que son parti et d'autres mouvements de gauche voulaient montrer leur rejet des négociations avec Israël, qui débuteront le 1er et 2 septembre prochain à l'initiative des États-Unis. Maluh a ajouté que ce n'est pas la répression policière qui allait les empêcher de continuer leurs activités.
Mahmoud Abbas, le président de l'Autorité Palestinienne, a ordonné une enquête immédiate à propos de ces incidents. Adnan Al Demiri, de la police palestinienne, a annoncé que la police avait mis fin à un rassemblement illégal à Ramallah, mais n'avait pas attaqué la conférence de presse organisée.
En 2007, la police s'en était déjà pris à des manifestants, partout en Cisjordanie, durant les marches contre la Conférence d'Annapolis aux États-Unis. Un militant avait été tué par les tirs de la police et huit journalistes avaient été blessés.
Ces organisations de gauche donnait une conférence après avoir manifester, quand ils ont été attaqués par la police. Les officiers de police s'en sont pris à trois journalistes qui travaillent pour Watan, une télévision locale, leur confisquant leur caméras ainsi que leurs enregistrements.
Le député Rowhi Maluh, secrétaire général Front Populaire pour la Libération de la Palestine (FPLP) a confié à PNN que son parti et d'autres mouvements de gauche voulaient montrer leur rejet des négociations avec Israël, qui débuteront le 1er et 2 septembre prochain à l'initiative des États-Unis. Maluh a ajouté que ce n'est pas la répression policière qui allait les empêcher de continuer leurs activités.
Mahmoud Abbas, le président de l'Autorité Palestinienne, a ordonné une enquête immédiate à propos de ces incidents. Adnan Al Demiri, de la police palestinienne, a annoncé que la police avait mis fin à un rassemblement illégal à Ramallah, mais n'avait pas attaqué la conférence de presse organisée.
En 2007, la police s'en était déjà pris à des manifestants, partout en Cisjordanie, durant les marches contre la Conférence d'Annapolis aux États-Unis. Un militant avait été tué par les tirs de la police et huit journalistes avaient été blessés.