Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu ne va pas rencontrer le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Yukiya Amano en visite en Palestine occupée, a rapporté mardi le quotidien israélien Haaretz.
Amano, arrivé lundi en Palestine occupée pour sa première visite depuis sa prise de fonctions en décembre, avait sollicité une rencontre il y a plusieurs mois, mais le rendez-vous a été annulé la semaine dernière « en raison de vacances de Netanyahu dans le nord d'Israël », a prétendu le journal.
La rencontre était prévue lundi après-midi, peu après l'arrivée du directeur de l'AIEA, précise Haaretz.
Interrogé sur ces informations, un haut responsable a affirmé à l'AFP sous le couvert de l'anonymat "n'avoir aucune indication de leur véracité".
Amano avait annoncé en juillet qu'il allait entrer personnellement en contact avec les autorités israéliennes afin de les persuader de signer le Traité de non-prolifération nucléaire (TNP).
Lors de la dernière Conférence générale annuelle de l'AIEA en septembre 2009, une résolution adoptée avec difficulté demandait à Israël "de rejoindre le TNP et de placer ainsi toutes ses installations nucléaires sous la supervision de l'AIEA dans le cadre des mesures de sauvegarde".
Des entretiens étaient prévus avec le directeur de la commission israélienne pour l'énergie atomique Shaul Horev ainsi qu'avec le président Shimon Peres, considéré comme le père du programme nucléaire israélien, mercredi.
Israël, considéré comme l'unique puissance atomique de la région, n'a jamais reconnu disposer d'un arsenal nucléaire, mais les experts étrangers affirment qu’Israël possède un stock de 100 à 300 ogives nucléaires.
Amano, arrivé lundi en Palestine occupée pour sa première visite depuis sa prise de fonctions en décembre, avait sollicité une rencontre il y a plusieurs mois, mais le rendez-vous a été annulé la semaine dernière « en raison de vacances de Netanyahu dans le nord d'Israël », a prétendu le journal.
La rencontre était prévue lundi après-midi, peu après l'arrivée du directeur de l'AIEA, précise Haaretz.
Interrogé sur ces informations, un haut responsable a affirmé à l'AFP sous le couvert de l'anonymat "n'avoir aucune indication de leur véracité".
Amano avait annoncé en juillet qu'il allait entrer personnellement en contact avec les autorités israéliennes afin de les persuader de signer le Traité de non-prolifération nucléaire (TNP).
Lors de la dernière Conférence générale annuelle de l'AIEA en septembre 2009, une résolution adoptée avec difficulté demandait à Israël "de rejoindre le TNP et de placer ainsi toutes ses installations nucléaires sous la supervision de l'AIEA dans le cadre des mesures de sauvegarde".
Des entretiens étaient prévus avec le directeur de la commission israélienne pour l'énergie atomique Shaul Horev ainsi qu'avec le président Shimon Peres, considéré comme le père du programme nucléaire israélien, mercredi.
Israël, considéré comme l'unique puissance atomique de la région, n'a jamais reconnu disposer d'un arsenal nucléaire, mais les experts étrangers affirment qu’Israël possède un stock de 100 à 300 ogives nucléaires.