22 Août 2010
Al-Qods occupée / "A 34 reprises, les forces d'occupation israéliennes ont opéré des travaux de creusement au-dessous d'al-Aqsa et exécuté 55 invasion de la mosquée bénie", indique un rapport publié par l'institution internationale d'al-Qods à l'occasion du 41ème anniversaire de l'incendie prémédité de la Mosquée par un certain Denis Rohan, un extrémiste sioniste, qui y avait mis le feu le 21 août 1969, à l'incitation des autorités d'occupation israéliennes, provoquant de grands dégâts.
Le rapport, rapporté par le centre palestinien de l'information, souligne le travail serré par l'occupant israélien, en course contre la montre, afin d'imposer la division de la Mosquée "à l'ombre de l'absence d'une position dissuasive, de l'effondrement de la position politique officielle palestinienne et de la position américaine soutenant une présence juive ancrée à l'intérieure d'al-Aqsa", mettant l'accent sur l'accélération des travaux de creusement au-dessous et aux contours de la mosquée en vue d'établir sur les lieux une colonie de peuplement, en plus de la construction tout près de la Mosquée de deux synagogues et de l'ouverture d'un musée au sud-ouest de la place d'al-Bouraq afin de consacrer la colonisation aux alentours de la Mosquée et de faire ,ccroire le récit juif de l'histoire d'al-Qods.
Le rapport avertit de même de plans d'avenir encore plus grands et plus dangereux concernant la mosquée, faisant constater que l'occupant ne cachait plus ses travaux de creusement, alors qu'il tenait, dans le passé, à cacher les positions de creusement de crainte des réactions palestiniennes, arabes et internationales.
Le rapport parle de 34 positions de creusement au-dessous et autour d'al-Aqsa et souligne les invasions répétées de la Mosquée d'al-Aqsa, auxquelles les autorités d'occupation assurent la couverture politique et juridique, et les forces de la sûreté la protection.
Le rapport cite dans ce sens six invasions de la Mosquée par des personnalités officielles (trois de ladite autorité des antiquités israéliennes et trois par des membres de la Knesset) qui s'ajoutent à 36 autres exécutés par des colons "toutes sous escorte et protection des forces de la police israélienne dont le rôle dans la plupart des cas était supérieur de celui des colons envahisseurs ", précise le rapport, mettant l'accent sur les entraînements quotidiens de l'unité /le mont du temple/, formée par l'occupant sioniste, sur l'invasion et la domination entière de la Mosquée d'al-Aqsa, et sur les assauts qui avaient pris un cachet provocateur celui de profanation des lieux saints.
Il a évoqué dans ce contexte le verdict lancé par ladite Cour de la paix israélienne qui implique à la police israélienne de protéger les colons qui envahissent al-Aqsa.
Le rapport qui trouve nécessaire d'obliger l'ennemi à réincarner dans son esprit la pensée de la perte, affirme que la résistance reste le seul défenseur de la Mosquée al-Aqsa et la seule capable d'arrêter les agressions qui la visent.
Le rapport qui trouve que l'occupant a réussi une grande réalisation en parvenant à lancer des négociations directes inconditionnelles avec l'autorité palestinienne, "la chose qui met la question d'al-Qods et de la Mosquée d'al-Aqsa hors des négociations", insiste aussi sur la nécessité de redonner à la question d'al-Aqsa la priorité dans les politiques palestiniennes "au moins en choisissant le temps des négociations pour qu'elles ne soient pas une couverture aux agressions israéliennes".
Dans ce même contexte, nombre de personnalités palestiniennes politiques, religieux et dirigeantes trouve que l'incendie prémédité d'al-Aqsa dont le premier feu a été allumé il y a 41 ans, se poursuit depuis sous d'autres habits: Creusement tunnels, invasions, interdiction aux fidèles d'y parvenir pour prier, interdiction des travaux de restauration….
Le maire d'al-Qods, Adnan al-Husseini, affirme lui que l'incendie d'al-Aqsa n'avait pas cessé, qu'il se réincarne par les creusements à l'intérieur et autour de la Mosquée.
Cheikh kamal al-Khatib, vice-président du mouvement islamique dans la terre occupée en 1948, a affirmé également que le feu mis à al-Aqsa il y a 41 ans brûle encore prenant de nouvelles formes: creusement sous et autour d'al-Aqsa, blocus d'al-Qods et de la mosquée béni…
Cheikh Ikrima Sabri, chef du haut comité islamique d'al-Qods, prédicateur de la Mosquée d'al-Aqsa, a qualifié le crime d'incendie commis sur al-Aqsa: "complot politique visant à judaïser la ville sainte".
L'archevêque Atalla Hanna, archevêque de Sabastia des Greccs-Orthodoxes, a affirmé que l'incendie d'al-Aqsa est une agression qui avait touché les chrétiens autant que les Musulmans.
Gh.H.
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Le rapport, rapporté par le centre palestinien de l'information, souligne le travail serré par l'occupant israélien, en course contre la montre, afin d'imposer la division de la Mosquée "à l'ombre de l'absence d'une position dissuasive, de l'effondrement de la position politique officielle palestinienne et de la position américaine soutenant une présence juive ancrée à l'intérieure d'al-Aqsa", mettant l'accent sur l'accélération des travaux de creusement au-dessous et aux contours de la mosquée en vue d'établir sur les lieux une colonie de peuplement, en plus de la construction tout près de la Mosquée de deux synagogues et de l'ouverture d'un musée au sud-ouest de la place d'al-Bouraq afin de consacrer la colonisation aux alentours de la Mosquée et de faire ,ccroire le récit juif de l'histoire d'al-Qods.
Le rapport avertit de même de plans d'avenir encore plus grands et plus dangereux concernant la mosquée, faisant constater que l'occupant ne cachait plus ses travaux de creusement, alors qu'il tenait, dans le passé, à cacher les positions de creusement de crainte des réactions palestiniennes, arabes et internationales.
Le rapport parle de 34 positions de creusement au-dessous et autour d'al-Aqsa et souligne les invasions répétées de la Mosquée d'al-Aqsa, auxquelles les autorités d'occupation assurent la couverture politique et juridique, et les forces de la sûreté la protection.
Le rapport cite dans ce sens six invasions de la Mosquée par des personnalités officielles (trois de ladite autorité des antiquités israéliennes et trois par des membres de la Knesset) qui s'ajoutent à 36 autres exécutés par des colons "toutes sous escorte et protection des forces de la police israélienne dont le rôle dans la plupart des cas était supérieur de celui des colons envahisseurs ", précise le rapport, mettant l'accent sur les entraînements quotidiens de l'unité /le mont du temple/, formée par l'occupant sioniste, sur l'invasion et la domination entière de la Mosquée d'al-Aqsa, et sur les assauts qui avaient pris un cachet provocateur celui de profanation des lieux saints.
Il a évoqué dans ce contexte le verdict lancé par ladite Cour de la paix israélienne qui implique à la police israélienne de protéger les colons qui envahissent al-Aqsa.
Le rapport qui trouve nécessaire d'obliger l'ennemi à réincarner dans son esprit la pensée de la perte, affirme que la résistance reste le seul défenseur de la Mosquée al-Aqsa et la seule capable d'arrêter les agressions qui la visent.
Le rapport qui trouve que l'occupant a réussi une grande réalisation en parvenant à lancer des négociations directes inconditionnelles avec l'autorité palestinienne, "la chose qui met la question d'al-Qods et de la Mosquée d'al-Aqsa hors des négociations", insiste aussi sur la nécessité de redonner à la question d'al-Aqsa la priorité dans les politiques palestiniennes "au moins en choisissant le temps des négociations pour qu'elles ne soient pas une couverture aux agressions israéliennes".
Dans ce même contexte, nombre de personnalités palestiniennes politiques, religieux et dirigeantes trouve que l'incendie prémédité d'al-Aqsa dont le premier feu a été allumé il y a 41 ans, se poursuit depuis sous d'autres habits: Creusement tunnels, invasions, interdiction aux fidèles d'y parvenir pour prier, interdiction des travaux de restauration….
Le maire d'al-Qods, Adnan al-Husseini, affirme lui que l'incendie d'al-Aqsa n'avait pas cessé, qu'il se réincarne par les creusements à l'intérieur et autour de la Mosquée.
Cheikh kamal al-Khatib, vice-président du mouvement islamique dans la terre occupée en 1948, a affirmé également que le feu mis à al-Aqsa il y a 41 ans brûle encore prenant de nouvelles formes: creusement sous et autour d'al-Aqsa, blocus d'al-Qods et de la mosquée béni…
Cheikh Ikrima Sabri, chef du haut comité islamique d'al-Qods, prédicateur de la Mosquée d'al-Aqsa, a qualifié le crime d'incendie commis sur al-Aqsa: "complot politique visant à judaïser la ville sainte".
L'archevêque Atalla Hanna, archevêque de Sabastia des Greccs-Orthodoxes, a affirmé que l'incendie d'al-Aqsa est une agression qui avait touché les chrétiens autant que les Musulmans.
Gh.H.
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