Israel - 22-08-2010 |
Le Ministre de la Défense Ehud Barak a déclaré samedi qu'il avait parlé au téléphone avec la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, le Conseiller à la Sécurité américaine, Jim Jones et au Ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, et qu’il leur avait demandé d’empêcher le départ de la flottille d’aide pour Gaza en provenance du Liban.
Le Ministre de la Défense montre qu’il a retenu les leçons de la Commission Turkel, en demandant aux autorités américaines et françaises pour empêcher le départ des navires d'aide du Liban
Le Ministre de la Défense Ehud Barak a déclaré samedi qu'il avait parlé au téléphone avec la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, le Conseiller à la Sécurité américaine, Jim Jones et au Ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, et qu’il leur avait demandé d’empêcher le départ de la flottille d’aide pour Gaza en provenance du Liban.
C’est le second communiqué de presse de Barak en deux jours, et survient juste quelques semaines après qu’il ait témoigné la Commission Turkel pour dissiper toute responsabilité des FOI dans le fiasco de la flottille. Cette fois, il semble que le ministre de la Défense montre qu’il ait retenu les leçons et met tout en œuvre pour prévenir tout événement de ce genre à l'avenir.
Le communiqué de presse fait remarquer que : «Le ministre de la Défense a précisé qu'Israël permettrait à l'aide humanitaire d'atteindre la bande de Gaza après avoir été contrôlée dans le port d'Ashdod, donc la tentative de la flottille d'atteindre la bande de Gaza est une provocation inutile."
Barak a récemment rappelé au gouvernement et aux personnalités internationales que tous les efforts diplomatiques devaient être faits pour arrêter les navires. Vendredi, il a souligné que la flottille de femmes "n’avait aucun lien avec des questions humanitaires, et constituait une provocation hostile, avec tout ce que cela signifie."
Que cela soit vrai ou non, les organisateurs ont reporté le départ de la flottille prévu pour dimanche. L’une des organisatrices, Samar al-Haj, a déclaré samedi qu’après que Chypre ait refusé d'autoriser le navire à traverser ses eaux territoriales, elles ont été obligées de chercher un autre port d’où elles pourraient partir.
«Nous cherchons un autre endroit", dit-elle. "Il y a des difficultés et des obstacles, mais nous n'allons pas renoncer aussi facilement."
La flottille a besoin d'une escale parce que le Liban n’autorisera pas les navires à quitter ses ports pour se rendre directement dans la bande de Gaza. Il a été annoncé samedi que les organisateurs avaient contacté le gouvernement grec.
Quelques 50 à 75 femmes sont à bord du Mariam. Elles ont annoncé que le navire transportera des médicaments contre le cancer, des livres et des jouets.
Le Ministre de la Défense montre qu’il a retenu les leçons de la Commission Turkel, en demandant aux autorités américaines et françaises pour empêcher le départ des navires d'aide du Liban
Le Ministre de la Défense Ehud Barak a déclaré samedi qu'il avait parlé au téléphone avec la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, le Conseiller à la Sécurité américaine, Jim Jones et au Ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, et qu’il leur avait demandé d’empêcher le départ de la flottille d’aide pour Gaza en provenance du Liban.
C’est le second communiqué de presse de Barak en deux jours, et survient juste quelques semaines après qu’il ait témoigné la Commission Turkel pour dissiper toute responsabilité des FOI dans le fiasco de la flottille. Cette fois, il semble que le ministre de la Défense montre qu’il ait retenu les leçons et met tout en œuvre pour prévenir tout événement de ce genre à l'avenir.
Le communiqué de presse fait remarquer que : «Le ministre de la Défense a précisé qu'Israël permettrait à l'aide humanitaire d'atteindre la bande de Gaza après avoir été contrôlée dans le port d'Ashdod, donc la tentative de la flottille d'atteindre la bande de Gaza est une provocation inutile."
Barak a récemment rappelé au gouvernement et aux personnalités internationales que tous les efforts diplomatiques devaient être faits pour arrêter les navires. Vendredi, il a souligné que la flottille de femmes "n’avait aucun lien avec des questions humanitaires, et constituait une provocation hostile, avec tout ce que cela signifie."
Que cela soit vrai ou non, les organisateurs ont reporté le départ de la flottille prévu pour dimanche. L’une des organisatrices, Samar al-Haj, a déclaré samedi qu’après que Chypre ait refusé d'autoriser le navire à traverser ses eaux territoriales, elles ont été obligées de chercher un autre port d’où elles pourraient partir.
«Nous cherchons un autre endroit", dit-elle. "Il y a des difficultés et des obstacles, mais nous n'allons pas renoncer aussi facilement."
La flottille a besoin d'une escale parce que le Liban n’autorisera pas les navires à quitter ses ports pour se rendre directement dans la bande de Gaza. Il a été annoncé samedi que les organisateurs avaient contacté le gouvernement grec.
Quelques 50 à 75 femmes sont à bord du Mariam. Elles ont annoncé que le navire transportera des médicaments contre le cancer, des livres et des jouets.