En réaction aux menaces du vice-Premier ministre israélien Sylvan Shalom, contre la bande de Gaza, le président iranien, a affirmé ce samedi, qu'une nouvelle offensive israélienne contre ce territoire, ne fera que rapprocher l'entité sioniste de sa mort".
Les Israéliens "cherchent un prétexte pour attaquer Gaza", a ajouté, M. Ahmadinejad lors d'un discours public à Sirjan (sud-est de l'Iran) retransmis par la télévision officielle.
"Je veux dire aux sionistes et à ceux qui les soutiennent qu'il y a déjà eu assez de crimes comme cela. Une nouvelle aventure ne vous sauvera pas mais vous rapprochera de votre mort certaine", a-t-il averti.
LES PRESSIONS RENFORCENT LA DETERMINATION DE L'IRAN
S'agissant du nucléaire, M.Ahmadinejad a affirmé que les pressions internationales ne font que "renforcer la détermination" de l'Iran à poursuivre la voie du développement.
"Ne pensez pas que vous pouvez stopper le développement de la nation iranienne sur la voie du progrès", a réitéré le président en évoquant les menaces de nouvelles sanctions agitées par les Occidentaux pour obliger Téhéran à stopper son programme d'enrichissement d'uranium.
"Vous pouvez vous agiter dans tous les sens, publier des déclarations, adopter des résolutions", a poursuivi M. Ahmadinejad. "Plus votre animosité à notre égard est ouverte, et plus la nation iranienne sera déterminée à aller de l'avant".
M. Ahmadinejad a réaffirmé que l'Iran avait "coopéré au plus haut degré" avec la communauté internationale pour essayer de la convaincre que son programme nucléaire était pacifique.
"Si vous voulez stopper la prolifération, détruisez vos armes nucléaires et dépensez cet argent pour vos peuples", a-t-il ajouté à l'adresse des dirigeants des puissances nucléaires.
Les Israéliens "cherchent un prétexte pour attaquer Gaza", a ajouté, M. Ahmadinejad lors d'un discours public à Sirjan (sud-est de l'Iran) retransmis par la télévision officielle.
"Je veux dire aux sionistes et à ceux qui les soutiennent qu'il y a déjà eu assez de crimes comme cela. Une nouvelle aventure ne vous sauvera pas mais vous rapprochera de votre mort certaine", a-t-il averti.
LES PRESSIONS RENFORCENT LA DETERMINATION DE L'IRAN
S'agissant du nucléaire, M.Ahmadinejad a affirmé que les pressions internationales ne font que "renforcer la détermination" de l'Iran à poursuivre la voie du développement.
"Ne pensez pas que vous pouvez stopper le développement de la nation iranienne sur la voie du progrès", a réitéré le président en évoquant les menaces de nouvelles sanctions agitées par les Occidentaux pour obliger Téhéran à stopper son programme d'enrichissement d'uranium.
"Vous pouvez vous agiter dans tous les sens, publier des déclarations, adopter des résolutions", a poursuivi M. Ahmadinejad. "Plus votre animosité à notre égard est ouverte, et plus la nation iranienne sera déterminée à aller de l'avant".
M. Ahmadinejad a réaffirmé que l'Iran avait "coopéré au plus haut degré" avec la communauté internationale pour essayer de la convaincre que son programme nucléaire était pacifique.
"Si vous voulez stopper la prolifération, détruisez vos armes nucléaires et dépensez cet argent pour vos peuples", a-t-il ajouté à l'adresse des dirigeants des puissances nucléaires.
Le président américain Barack Obama a affirmé vendredi que Washington allait "continuer à faire pression" sur l'Iran pour l'obliger à changer de politique, en recherchant le soutien d'une "communauté internationale unie pour (avoir) une position plus forte".
M. Ahmadinejad a répliqué en l'accusant de n'avoir "rien changé" à la politique hostile à l'Iran de ses prédécesseurs.
"M. Obama est arrivé avec l'annonce d'un changement, et nous l'avons accueilli favorablement. (...) Mais qu'est-ce qui a changé? Les pressions sont toujours là. Les sanctions sont toujours là. Les politiques (de Washington) en Irak et en Afghanistan sont toujours les mêmes", a-t-il relevé.
M. Ahmadinejad a répliqué en l'accusant de n'avoir "rien changé" à la politique hostile à l'Iran de ses prédécesseurs.
"M. Obama est arrivé avec l'annonce d'un changement, et nous l'avons accueilli favorablement. (...) Mais qu'est-ce qui a changé? Les pressions sont toujours là. Les sanctions sont toujours là. Les politiques (de Washington) en Irak et en Afghanistan sont toujours les mêmes", a-t-il relevé.