Israel - 18-10-2009 |
Moins d’une semaine après l’annulation d’un exercice aérien militaire conjoint avec Israël, la chaîne de télévision turque d’Etat, TRT1, a diffusé « Ayrılık » (Séparation), une nouvelle série télévisée qui donne une vision réaliste de l’opération militaire génocidaire d’Israël contre la bande de Gaza, au mois de janvier.
Caricature de Benjamin Netanyahu sur Al-Ahram : "Par la tromperie, la guerre tu feras" (devise du Mossad).
Les Israéliens ne sont pas contents. « La diffusion de cette série est un cas grave d’incitation à la haine sponsorisée par un gouvernement… », a déclaré ce matin le ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman. « Une série télévisée telle celle-là, qui ne présente pas le moindre rapport avec la réalité, présente les soldats de l’armée israélienne sous les traits d’assassins d’enfants innocents… »
Je me demande s’il ne faudrait pas rappeler à Lieberman, qui est, comme par hasard, un partisan enthousiaste de l’épuration ethnique et un raciste judéo-suprématiste assumé, que la réalité sur le terrain, en janvier, avait « suffisamment à voir » pour pouvoir constituer une enquête pour crime de guerre et crime contre l’humanité. L’opération a causé plus de 1 400 morts. Elle a laissé derrière elle aussi des milliers de blessés, en majorité des enfants, des femmes et des vieillards. Cependant, pour une fois, Lieberman a su lire la carte : la série de la télévision turque dépeint bien, en effet, les soldats israéliens sous les traits d’assassins d’enfants, de femmes et de vieillards, car c’est exactement ce que sont les soldats israéliens, et c’est exactement ce qu’incarne Israël, politiquement, symboliquement, idéologiquement et dans la pratique.
Bien que Lieberman tente de rassurer ses partisans israéliens, et même s’il y parviendra sans doute, ses chances de faire monter les pressions contre la télévision et le gouvernement turcs sont très limitées. A l’heure qu’il est, tout le monde sait bien qu’Israël n’est pas autre chose que l’installation d’un Etat réservé aux seuls juifs sur une terre volée : la Palestine.
Comme de juste, nous passons beaucoup de temps à écrire et à analyser le conflit israélo-palestinien. Les faits, sur le terrain, sont pourtant très simples. Le sionisme est une idéologie qui est inspirée par le pillage de la Palestine. Israël a mis en pratique le vol de la Palestine et des Palestiniens. Nous parlons ici d’un projet de revivification nationale qui est en train de se réaliser au détriment d’un autre peuple. C’est un projet criminel, inspiré de manière inhérente par la Bible et un projet amoral et cleptomane de « retour au pays ». C’est une combinaison létale de certaines interprétations mortifères de l’Ancien Testament alliée à un présent amoral. La seule question que l’on doive poser aujourd’hui est de savoir comment les sionistes ont-ils réussi à s’en tirer à si bon compte ? Comment peuvent-ils continuer à s’en tirer sans dommage en dépit de leurs pillages, de leurs bombardements au phosphore blanc et de leur accumulation d’armes nucléaires ?
La réponse à cette question est la suivante : ils ont pu le faire par la tromperie, et grâce à leurs mensonges.
Voici de cela quelques semaines, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu agita devant l’Assemblée de l’Onu les protocoles de la Conférence de Wannsee, suggérant qu’il détenait la « preuve de l’extermination des juifs européens par les nazis ». Avec son art consommé de la comédie, il a exigé l’empathie des nations : « S’agit-il là de mensonges ? », s’est-il écrié.
Gros problème : bien que les documents qu’il a exhibés devant l’assemblée fussent authentiques, il ne faisait, en réalité, que réciter le couplet sioniste habituel. Le protocole de Wannsee fait allusion, d’une manière très générale, à la déportation de l’ensemble de la population juive d’Allemagne et des territoires occupés par l’Allemagne, vers l’Est. Bien que document évoque une « solution finale », la véritable « solution » qu’il ait jamais préconisée diffère du tout au tout de l’interprétation communément mise en avant par la narration sioniste de la Shoa. Le protocole de Wannsee a trait, fondamentalement, à un plan sinistre visant à faire périr d’épuisement les juifs déportés, contraints à des travaux forcés, notamment sur le réseau routier.
Autant le document de Wannsee est accablant, autant sa pertinence dans l’historique de l’holocauste est extrêmement limitée, ce « plan de Wannsee » ne s’étant jamais concrétisé dans un quelconque réel programme opérationnel. Il n’a, de fait, rien à voir avec l’historicité de l’extermination de juifs, connue sous le nom de Shoah. Il ne planifie en rien de quelconques camps de concentration, ni de quelconques chambres à gaz. En tant que document juridique, il ne proue rien d’autre que les inclinations générales des nazis. En tant que document historique, il ne « démontre » en rien la Shoa et l’extermination des juifs ; il ne fait qu’affirmer que le régime nazi s’était juré de faire de l’idée d’une Allemagne Judenreine (libre de juifs) une réalité. Toutefois, c’est là un fait bien établi et largement reconnu, même par la plupart, sinon la totalité, des révisionnistes de l’Holocauste. Autant Netanyahu voulait insister à redonner à l’Holocauste un supplément de crédibilité, autant il n’a rien fait d’autre qu’agiter un bout de papier relativement insignifiant devant les nations du monde. Inutile de préciser qu’il a réussi son coup. Toutefois, bien plus crucial est le fait que le Protocole de Wansee définit un programme qui ne diffère pas considérablement du projet de Lieberman, mortel pour les Palestiniens.
En réalité, c’est l’Etat juif qui assassine en masse des Palestiniens et réduit à la famine ceux qui survivent. De plus, il est très intéressant aussi de réfléchir aux questions suivantes : comment se fait-il que le leader de l’Etat juif soit là, devant les nations du monde entier, en train de raconter ses bobards, en pleine lumière, tant au nom d’Israël qu’à celui du peuple juif ? Que pouvons-nous déduire du fait qu’un dirigeant israélien tente d’embobiner la totalité de l’Assemblée de l’Onu ? Comment se fait-il qu’un Premier ministre israélien réussisse à détourner avec une telle facilité l’attention de ses propres crimes contre l’humanité, qui sont consigné, pour l’instant, dans un document historique relativement insignifiant ? Bref : comment peut-il s’en tirer à si bon compte ?
La réponse est sans doute tout ce qu’il y a de trivial. Comme dans le cas du leitmotiv du Mossad, ils mènent leur guerre au moyen de la tromperie. C’est l’ensemble du projet de renaissance juive qui est fondé sur un paquet de mensonges. L’ensemble du récit du « retour au pays » des juifs n’est rien d’autre qu’un crime collectif perpétré en plein jour et fondé sur une fausse argumentation et sur des mensonges, là encore. Initialement, les sionistes trompaient leurs coreligionnaires juifs. Mais au fil du temps, ils ont étendu leur tactique. Durant très longtemps, ils nous ont embobinés, tous autant que nous sommes. Les Israéliens et les sionistes sont nés dans le mensonge et ils vivent à travers un mensonge ; ils ont donc tendance à croire qu’ils peuvent s’en tirer à bon compte avec leurs mensonges et leurs tromperies. Il faut reconnaître la réalité, aussi triste soit-elle : les dirigeants mondiaux marchent. Comme nous le savons, aucun dirigeant du monde n’a mis en cause les bobards de Netanyahu à l’Onu. Plus dérangeant est le fait qu’aucun historien ou aucun intellectuel ne s’est donné la peine de faire observer au Premier ministre israélien que le Protocole de Wannsee décrit avant toute chose sa propre politique, qu’il applique chez lui.
Très rares sont les dirigeants du monde à avoir le courage de s’opposer à l’opération de bourrage de crâne des sionistes. Récemment, nous avons vu le courage de l’Iranien Mahmud Ahmadinejad, du Vénézuélien Hugo Chavez et du Premier ministre turc Tayyip Erdoğan. Cela ne fait pas lourd, face aux atrocités colossales qu’a perpétrées l’Etat juif. Mais c’est mieux que rien.
La bonne nouvelle, c’est que l’Humanisme et l’Humanité ne sont pas exactement les qualités dont disposeraient, aujourd’hui, les hommes politiques ou ceux qu’il est convenu d’appeler les « leaders mondiaux ». En réalité, c’est nous, qui les détenons. Nous, les membres de l’espèce humaine, nous les gens, qui sont les témoins du mal en train d’émerger. La Véritable Humanité et l’Humanisme découlent de la gentillesse et d’une aspiration à l’éthique et à la sincérité. Dans la plupart des cas, ce sont en réalité les artistes et les gens ordinaires qui font de l’Humanisme un message vivant. Nos interventionnistes élus, pour quelque raison, insistent à nous entraîner dans toujours plus de guerres sionistes au nom de l’Holocauste, de la démocratie et de la libération.
De manière on ne peut plus tragique, nos dirigeants occidentaux sont encore réduits au silence, ou au minimum « fascinés » par les bobards sionistes. Mais cela ne devrait plus être pour nous une préoccupation majeure. La félonie des idéologies (de gauche, de droite et du centre), des hommes politiques et des institutions de l’Occident est un fait établi. Le fait qu’ils soient les victimes des mensonges sionistes n’est apparemment qu’un symptôme parmi de bien trop nombreux symptômes. Non seulement la vérité vaincra ; de fait, elle est déjà en train de l’emporter. L’identification du bourrage de crâne sioniste est en train de se généraliser. Tandis que le nuage brumeux de la brutalité sioniste est en train de s’étendre, nous sommes tous en train de développer une aspiration croissante à un minimum de rayons de vérité et de grâce. Nous commençons à comprendre qu’ils font leurs guerres au moyen de la tromperie. Ils peuvent encore remporter quelques victoires à la Pyrrhus supplémentaires, mais une chose est sûre : ils sont en train de perdre la guerre.
Caricature de Benjamin Netanyahu sur Al-Ahram : "Par la tromperie, la guerre tu feras" (devise du Mossad).
Les Israéliens ne sont pas contents. « La diffusion de cette série est un cas grave d’incitation à la haine sponsorisée par un gouvernement… », a déclaré ce matin le ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman. « Une série télévisée telle celle-là, qui ne présente pas le moindre rapport avec la réalité, présente les soldats de l’armée israélienne sous les traits d’assassins d’enfants innocents… »
Je me demande s’il ne faudrait pas rappeler à Lieberman, qui est, comme par hasard, un partisan enthousiaste de l’épuration ethnique et un raciste judéo-suprématiste assumé, que la réalité sur le terrain, en janvier, avait « suffisamment à voir » pour pouvoir constituer une enquête pour crime de guerre et crime contre l’humanité. L’opération a causé plus de 1 400 morts. Elle a laissé derrière elle aussi des milliers de blessés, en majorité des enfants, des femmes et des vieillards. Cependant, pour une fois, Lieberman a su lire la carte : la série de la télévision turque dépeint bien, en effet, les soldats israéliens sous les traits d’assassins d’enfants, de femmes et de vieillards, car c’est exactement ce que sont les soldats israéliens, et c’est exactement ce qu’incarne Israël, politiquement, symboliquement, idéologiquement et dans la pratique.
Bien que Lieberman tente de rassurer ses partisans israéliens, et même s’il y parviendra sans doute, ses chances de faire monter les pressions contre la télévision et le gouvernement turcs sont très limitées. A l’heure qu’il est, tout le monde sait bien qu’Israël n’est pas autre chose que l’installation d’un Etat réservé aux seuls juifs sur une terre volée : la Palestine.
Comme de juste, nous passons beaucoup de temps à écrire et à analyser le conflit israélo-palestinien. Les faits, sur le terrain, sont pourtant très simples. Le sionisme est une idéologie qui est inspirée par le pillage de la Palestine. Israël a mis en pratique le vol de la Palestine et des Palestiniens. Nous parlons ici d’un projet de revivification nationale qui est en train de se réaliser au détriment d’un autre peuple. C’est un projet criminel, inspiré de manière inhérente par la Bible et un projet amoral et cleptomane de « retour au pays ». C’est une combinaison létale de certaines interprétations mortifères de l’Ancien Testament alliée à un présent amoral. La seule question que l’on doive poser aujourd’hui est de savoir comment les sionistes ont-ils réussi à s’en tirer à si bon compte ? Comment peuvent-ils continuer à s’en tirer sans dommage en dépit de leurs pillages, de leurs bombardements au phosphore blanc et de leur accumulation d’armes nucléaires ?
La réponse à cette question est la suivante : ils ont pu le faire par la tromperie, et grâce à leurs mensonges.
Voici de cela quelques semaines, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu agita devant l’Assemblée de l’Onu les protocoles de la Conférence de Wannsee, suggérant qu’il détenait la « preuve de l’extermination des juifs européens par les nazis ». Avec son art consommé de la comédie, il a exigé l’empathie des nations : « S’agit-il là de mensonges ? », s’est-il écrié.
Gros problème : bien que les documents qu’il a exhibés devant l’assemblée fussent authentiques, il ne faisait, en réalité, que réciter le couplet sioniste habituel. Le protocole de Wannsee fait allusion, d’une manière très générale, à la déportation de l’ensemble de la population juive d’Allemagne et des territoires occupés par l’Allemagne, vers l’Est. Bien que document évoque une « solution finale », la véritable « solution » qu’il ait jamais préconisée diffère du tout au tout de l’interprétation communément mise en avant par la narration sioniste de la Shoa. Le protocole de Wannsee a trait, fondamentalement, à un plan sinistre visant à faire périr d’épuisement les juifs déportés, contraints à des travaux forcés, notamment sur le réseau routier.
Autant le document de Wannsee est accablant, autant sa pertinence dans l’historique de l’holocauste est extrêmement limitée, ce « plan de Wannsee » ne s’étant jamais concrétisé dans un quelconque réel programme opérationnel. Il n’a, de fait, rien à voir avec l’historicité de l’extermination de juifs, connue sous le nom de Shoah. Il ne planifie en rien de quelconques camps de concentration, ni de quelconques chambres à gaz. En tant que document juridique, il ne proue rien d’autre que les inclinations générales des nazis. En tant que document historique, il ne « démontre » en rien la Shoa et l’extermination des juifs ; il ne fait qu’affirmer que le régime nazi s’était juré de faire de l’idée d’une Allemagne Judenreine (libre de juifs) une réalité. Toutefois, c’est là un fait bien établi et largement reconnu, même par la plupart, sinon la totalité, des révisionnistes de l’Holocauste. Autant Netanyahu voulait insister à redonner à l’Holocauste un supplément de crédibilité, autant il n’a rien fait d’autre qu’agiter un bout de papier relativement insignifiant devant les nations du monde. Inutile de préciser qu’il a réussi son coup. Toutefois, bien plus crucial est le fait que le Protocole de Wansee définit un programme qui ne diffère pas considérablement du projet de Lieberman, mortel pour les Palestiniens.
En réalité, c’est l’Etat juif qui assassine en masse des Palestiniens et réduit à la famine ceux qui survivent. De plus, il est très intéressant aussi de réfléchir aux questions suivantes : comment se fait-il que le leader de l’Etat juif soit là, devant les nations du monde entier, en train de raconter ses bobards, en pleine lumière, tant au nom d’Israël qu’à celui du peuple juif ? Que pouvons-nous déduire du fait qu’un dirigeant israélien tente d’embobiner la totalité de l’Assemblée de l’Onu ? Comment se fait-il qu’un Premier ministre israélien réussisse à détourner avec une telle facilité l’attention de ses propres crimes contre l’humanité, qui sont consigné, pour l’instant, dans un document historique relativement insignifiant ? Bref : comment peut-il s’en tirer à si bon compte ?
La réponse est sans doute tout ce qu’il y a de trivial. Comme dans le cas du leitmotiv du Mossad, ils mènent leur guerre au moyen de la tromperie. C’est l’ensemble du projet de renaissance juive qui est fondé sur un paquet de mensonges. L’ensemble du récit du « retour au pays » des juifs n’est rien d’autre qu’un crime collectif perpétré en plein jour et fondé sur une fausse argumentation et sur des mensonges, là encore. Initialement, les sionistes trompaient leurs coreligionnaires juifs. Mais au fil du temps, ils ont étendu leur tactique. Durant très longtemps, ils nous ont embobinés, tous autant que nous sommes. Les Israéliens et les sionistes sont nés dans le mensonge et ils vivent à travers un mensonge ; ils ont donc tendance à croire qu’ils peuvent s’en tirer à bon compte avec leurs mensonges et leurs tromperies. Il faut reconnaître la réalité, aussi triste soit-elle : les dirigeants mondiaux marchent. Comme nous le savons, aucun dirigeant du monde n’a mis en cause les bobards de Netanyahu à l’Onu. Plus dérangeant est le fait qu’aucun historien ou aucun intellectuel ne s’est donné la peine de faire observer au Premier ministre israélien que le Protocole de Wannsee décrit avant toute chose sa propre politique, qu’il applique chez lui.
Très rares sont les dirigeants du monde à avoir le courage de s’opposer à l’opération de bourrage de crâne des sionistes. Récemment, nous avons vu le courage de l’Iranien Mahmud Ahmadinejad, du Vénézuélien Hugo Chavez et du Premier ministre turc Tayyip Erdoğan. Cela ne fait pas lourd, face aux atrocités colossales qu’a perpétrées l’Etat juif. Mais c’est mieux que rien.
La bonne nouvelle, c’est que l’Humanisme et l’Humanité ne sont pas exactement les qualités dont disposeraient, aujourd’hui, les hommes politiques ou ceux qu’il est convenu d’appeler les « leaders mondiaux ». En réalité, c’est nous, qui les détenons. Nous, les membres de l’espèce humaine, nous les gens, qui sont les témoins du mal en train d’émerger. La Véritable Humanité et l’Humanisme découlent de la gentillesse et d’une aspiration à l’éthique et à la sincérité. Dans la plupart des cas, ce sont en réalité les artistes et les gens ordinaires qui font de l’Humanisme un message vivant. Nos interventionnistes élus, pour quelque raison, insistent à nous entraîner dans toujours plus de guerres sionistes au nom de l’Holocauste, de la démocratie et de la libération.
De manière on ne peut plus tragique, nos dirigeants occidentaux sont encore réduits au silence, ou au minimum « fascinés » par les bobards sionistes. Mais cela ne devrait plus être pour nous une préoccupation majeure. La félonie des idéologies (de gauche, de droite et du centre), des hommes politiques et des institutions de l’Occident est un fait établi. Le fait qu’ils soient les victimes des mensonges sionistes n’est apparemment qu’un symptôme parmi de bien trop nombreux symptômes. Non seulement la vérité vaincra ; de fait, elle est déjà en train de l’emporter. L’identification du bourrage de crâne sioniste est en train de se généraliser. Tandis que le nuage brumeux de la brutalité sioniste est en train de s’étendre, nous sommes tous en train de développer une aspiration croissante à un minimum de rayons de vérité et de grâce. Nous commençons à comprendre qu’ils font leurs guerres au moyen de la tromperie. Ils peuvent encore remporter quelques victoires à la Pyrrhus supplémentaires, mais une chose est sûre : ils sont en train de perdre la guerre.
Source : Gilad Atzmon website