Le Secrétaire général du Jihad islamique de la résistance palestinienne
Ramadan Abdallah Challah, a affirmé qu’ « il n’est pas question de
renoncer aux armes " de la Résistance palestnienne, soulignant avoir
refusé catégoriquement d'inclure cette question du désarmement dans les
négociations indirectes avec l’entité sioniste au Caire ".
Interrogé par le quotidien libanais asSafir, lors d'une conférence de presse tenue Mardi soir à Beyrouth, Challah a déclaré: «la question des armes ne figure en aucun cas dans les négociations. Certes ces négociations sont indirects et l’ennemi a ses demandes et nous autant avons les nôtres».
Et d’ajouter : « la partie palestinienne n'a pas dit à l'ennemi d'inclure cette question dans les négociations reportées. Au contraire, nous lui avons dit que nous refusons de discuter de cette question ».
Challah s’est concentré sur cinq points :le premier point est que « l’ennemi a commencé la guerre et donc nous étions dans une position de légitime défense. Une guerre nous a été imposée toutefois elle ne nous a pas surpris ... au contraire c’est la résistance qui a surpris l'ennemi et le monde avec ses capacités ».
Le deuxième point concerne l'échec de l'ennemi à séparer le mouvement Hamas des factions de la résistance en prétendant que cette guerre est une guerre contre le Hamas uniquement: «Toutes les factions de la résistance ont participé dans cette guerre et dès le premier instant, prouvant ainsi que cette guerre est une guerre qui vise tout le peuple palestinien et non le Hamas . Il est interdit à l’ennemi de distinguer une faction d'une autre ou un Palestinien d'un autre ».
Le troisième point concerne l’équilibre des forces dans le sens que cette guerre «a permis de réaliser que ce n'est pas une guerre entre deux entités ou deux armées égales. Il s'agit d'une guerre menée par une entité qui possède toute la force et la puissance du monde, elle a le plus grand arsenal militaire et l’une des armées les plus puissantes au monde. Elle teste des armes de destruction massive contre un peuple désarmé vivant un blocus total durant des années ».
Et de poursuivre : «la résistance a réussi à modifier l'équilibre des forces grâce à sa persévérance, sa détermination et sa force , elle a causé du mal à l’ennemi, l’a fait souffert dans cette bataille où les roquettes ont pilonné en profondeur le territoire ennemi, jusqu'au dernier moment».
Et de conclure : «nous allons entendre des voix, des milliers ou des centaines de milliers de voix qui remettront en question la victoire du peuple palestinien. Nous parlons de victoire avec humilité et en toute connaissance de cause ce que l’ennemi possède et ce que nous avons. La victoire est à Beyrouth, la direction de la résistance annonce que Gaza a triomphé parce que nous savons que dans le cadre de l’équilibre militaire nous avons réalisez ce que l'ennemi ne s’attendait point ».
Interrogé par le quotidien libanais asSafir, lors d'une conférence de presse tenue Mardi soir à Beyrouth, Challah a déclaré: «la question des armes ne figure en aucun cas dans les négociations. Certes ces négociations sont indirects et l’ennemi a ses demandes et nous autant avons les nôtres».
Et d’ajouter : « la partie palestinienne n'a pas dit à l'ennemi d'inclure cette question dans les négociations reportées. Au contraire, nous lui avons dit que nous refusons de discuter de cette question ».
Challah s’est concentré sur cinq points :le premier point est que « l’ennemi a commencé la guerre et donc nous étions dans une position de légitime défense. Une guerre nous a été imposée toutefois elle ne nous a pas surpris ... au contraire c’est la résistance qui a surpris l'ennemi et le monde avec ses capacités ».
Le deuxième point concerne l'échec de l'ennemi à séparer le mouvement Hamas des factions de la résistance en prétendant que cette guerre est une guerre contre le Hamas uniquement: «Toutes les factions de la résistance ont participé dans cette guerre et dès le premier instant, prouvant ainsi que cette guerre est une guerre qui vise tout le peuple palestinien et non le Hamas . Il est interdit à l’ennemi de distinguer une faction d'une autre ou un Palestinien d'un autre ».
Le troisième point concerne l’équilibre des forces dans le sens que cette guerre «a permis de réaliser que ce n'est pas une guerre entre deux entités ou deux armées égales. Il s'agit d'une guerre menée par une entité qui possède toute la force et la puissance du monde, elle a le plus grand arsenal militaire et l’une des armées les plus puissantes au monde. Elle teste des armes de destruction massive contre un peuple désarmé vivant un blocus total durant des années ».
Et de poursuivre : «la résistance a réussi à modifier l'équilibre des forces grâce à sa persévérance, sa détermination et sa force , elle a causé du mal à l’ennemi, l’a fait souffert dans cette bataille où les roquettes ont pilonné en profondeur le territoire ennemi, jusqu'au dernier moment».
Et de conclure : «nous allons entendre des voix, des milliers ou des centaines de milliers de voix qui remettront en question la victoire du peuple palestinien. Nous parlons de victoire avec humilité et en toute connaissance de cause ce que l’ennemi possède et ce que nous avons. La victoire est à Beyrouth, la direction de la résistance annonce que Gaza a triomphé parce que nous savons que dans le cadre de l’équilibre militaire nous avons réalisez ce que l'ennemi ne s’attendait point ».