[ 14/04/2011 - 11:08 ] |
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Ramallah – CPI Le détenu Odah a été arrêté le 14 mars 2010, après une poursuite qui a duré huit ans consécutifs, puis il a été mis en garde à vue pendant 45 jours, pour être transféré en détention administrative, sans accusation ni jugement. Il est à noter que l'occupation arrête dans ses prisons plus de 6000 palestiniens dont beaucoup souffrent de maladies chroniques en raison de tortures physiques et psychologiques qu'ils subissent dans les prisons sionistes, en même temps que la négligence médicale contre eux. Pour sa part, le centre d'études d'Ahrar pour les détenus et les droits de l'homme a déclaré que les soi-disant "tribunaux sionistes" et les services de renseignements sionistes qui ont échoué à extorquer des aveux d'Odah, lui ont assuré qu'il ne sera pas libéré et que l'occupation sioniste lui a proposé l'expulsion, mais il a refusé plus d'une fois. Dans un entretien avec le centre d'Ahrar, son épouse (Umm Anas) a déclaré avoir appris que son mari a été libéré de la prison, après avoir été contactée par le directeur de la prison qui l'a informée que son mari a été expulsé vers la Malaisie. De son côté, le centre d'Ahrar a fermement critiqué cette mesure sioniste d'expuler les prisonniers palestiniens et de les faire sortir de leurs territoires ou de les menacer ouvertement de rester en prison. Il fait appel aux instituions internationales et aux organisations des droits de l'homme pour pour freiner l'entité sioniste qui transgresse toutes les lois internationales, et change les lieux de résidence des citoyens palestiniens, ce qui est contraire à la coutume et au droit international. |