[ 12/03/2011 - 21:57 ] |
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Genève – CPI Le président du réseau européen pour la défense des détenus palestiniens, Mohamed Hamdan, a annoncé que la première conférence internationale pour les droits des détenus palestiniens qui poursuit ses travaux, le samedi 12/3, dans le siège de l'Onu à la capitale suisse, Genève, a approuvé un plan pour soutenir les prisonnières palestiniennes dans les prisons sionistes, se base sur l' annonce de 2011 comme une année pour les détenues palestiniennes, notant qu'il y a 36 femmes palestiniennes emprisonnées dans les geôles sionistes. Dans son discours à l'ouverture de la deuxième journée de la conférence tenue en vaste participation européenne politique et juridique, en plus des organisations juridiques internationales, arabes et palestiniennes, Hamdan a déclaré qu'on a spécifié cette année 2011 pour être une année de mettre la lumière sur la souffrance des détenus à travers un intensif mouvement sur tous les niveaux et dans tous les forums internationaux afin de montrer la tragédie des prisonnières palestiniennes et leurs familles sur le niveau judiciaire, politique et humanitaire et travailler pour mettre fin à cette souffrance. En plus l'activation de la question des détenues dans le but de parvenir vers leur libération. La première conférence internationale pour les droits des détenus palestiniens poursuit ses travaux pour la deuxième jour successif dans le siège de l'Onu à Genève sous le slogan "Travailler pour la justice" en présence de nombreux politiciens occidentaux et palestiniens, ainsi que ceux qui s'occupent et travaillent au domaine de la défense des droits de l'homme. Hamdan a également annoncé la formation d'un groupe de comités spécialistes pour garantir la continuation à la question des détenus afin de les libérer et garantir la réalisation de la justice pour eux. "On a formé un comité médiatique pour suivre la question des prisonniers aux médias internationaux et garantir sa justice, un autre comité judiciaire afin de poursuivre l'objectif de libérer et garantir la justice pour les détenus, un troisième technique couvrant la question des détenus sur le niveau d'art pour être le noyau afin d'attirer l'opinion générale internationale envers les souffrances des détenus palestiniens", a-t-il poursuivi. De son côté, la députée grecque, Agasta Ariadne, a exprimé dans un discours, son contentement par approbation de la conférence à la question des détenues palestiniennes, en occasion de la journée de la femme, tout en annonçant son soutien à la fin de la cause des détenus palestiniens dans les prisons sionistes. |