Agence France-Presse
Ramallah
Le dirigeant palestinien Mahmoud Abbas veut croire que les États-Unis parviendront à persuader Israël de décréter un nouveau moratoire sur la colonisation, comme il l'exige pour poursuivre les négociations.
«Pourquoi ne pas espérer que les États-Unis parviennent à convaincre Israël d'arrêter la colonisation, ce qui n'est pas demander grand-chose, au contraire, puisque cela ne porte que sur la question de la colonisation», a-t-il déclaré jeudi lors d'une conférence de presse, rappelant que la colonisation était «illégale».
«Nous nous concentrons sur l'espoir et non pas sur l'échec», a-t-il poursuivi lors de cette conférence de presse conjointe avec la présidente finlandaise Tarja Halonen qu'il a reçue à Ramallah (Cisjordanie).
La Ligue arabe a avalisé le 9 octobre la position de M. Abbas mais a accordé un délai d'un mois à Washington pour régler le différend sur la colonisation, dont le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a refusé de prolonger le gel partiel arrivé à échéance le 26 septembre.
M. Netanyahu a proposé lundi publiquement un nouveau moratoire de deux mois sur la colonisation en échange de la reconnaissance d'Israël comme «État du peuple juif», un marché aussitôt rejeté par les Palestiniens comme «sans rapport avec le processus de paix».
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«Nous nous concentrons sur l'espoir et non pas sur l'échec», a-t-il poursuivi lors de cette conférence de presse conjointe avec la présidente finlandaise Tarja Halonen qu'il a reçue à Ramallah (Cisjordanie).
La Ligue arabe a avalisé le 9 octobre la position de M. Abbas mais a accordé un délai d'un mois à Washington pour régler le différend sur la colonisation, dont le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a refusé de prolonger le gel partiel arrivé à échéance le 26 septembre.
M. Netanyahu a proposé lundi publiquement un nouveau moratoire de deux mois sur la colonisation en échange de la reconnaissance d'Israël comme «État du peuple juif», un marché aussitôt rejeté par les Palestiniens comme «sans rapport avec le processus de paix».
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