Jeudi 2 Septembre 2010
Myriam Abraham
Le bureau de Simon Wiesenthal à Vienne en Autriche a servi de couverture à des activités du Mossad, Simon Wiesenthal lui-même ayant travaillé - payé en liquide - pour l’agence d’espionnage et d’assassinats extra judiciaires sioniste opérant à l’étranger.
Selon le livre de Tom Segev, historien israélien de renom, « Wiesenthal - the Life and Legends » publié jeudi (Edition Keter), Simon Wiesenthal a travaillé pour les services de renseignements israéliens avant même la création du Mossad en 1949 puis a continué plus tard sa collaboration avec le Mossad .Wiesenthal bénéficiait d'un passeport israélien, alors même qu'il n'a jamais vécu en Israël mais à Vienne en Autriche.
Simon Wiesenthal devenu célèbre pour sa chasse aux Nazis après la Seconde Guerre Mondiale, a fourni des renseignements au Mossad non seulement sur des criminels de guerre nazis mais également sur des scientifiques allemands travaillant dans des pays arabes.
En 1948, Simon Wiesenthal a participé à une tentative avortée pour capturer le criminel de guerre nazi, Adolf Eichmann, enlevé en Argentine des années plus tard par le Mossad « extradé » mani militari en Israël en 1960 où il a été jugé condamné à mort et exécuté. Son procès a donné lieu à l’époque à toute une mise en scène politique, les Sionistes ayant besoin de « raviver la flamme » de la culpabilisation européenne en général et allemande en particulier pour pouvoir agir à leur guise sans craindre d’être critiqués pour les crimes de guerre qu’eux-mêmes ont commis et continuent de commettre notamment contre les Palestiniens les Egyptiens et les Libanais.
Dans les années 60 Wiesenthal a fourni des renseignements sur des néo Nazis mais également sur des scientifiques et ingénieurs allemands travaillant en Egypte sur un programme de roquette.
Simon Wiesenthal a travaillé environ 10 ans pour le Mossad après la capture d'Eichman. Le Mossad a financé la création du bureau de Wiesenthal à Vienne en Autriche et lui a versé un salaire de 300 $ par mois en liquide.
Tom Segev base ses conclusions sur la collaboration de Simon Wiesenthal avec le Mossad sur des documents consultés appartenant aux archives personnelles de Wiesenthal et des interviews d' ex agents du Mossad responsables des contacts avec Wiesenthal.
Le Centre Simon Wiesenthal quant à lui est à l’origine de la construction très controversée d’un « Musée de la Tolérance » sur un très ancien cimetière musulman de Jérusalem, en coopération avec l’administration territoriale israélienne ( ILA administration des territoires occupés de Cisjordanie incluse la ville de Jérusalem ) et la mairie sioniste de Jérusalem.
De nombreuses tombes musulmanes ont été profanées, les évacuations hâtives de restes humains parfois effectuées dans la boue ont endommagé certains squelettes. Une plainte a été déposée pour savoir comment le centre Simon Wiesenthal a pu acquérir ce terrain. A l’époque, Ehud Olmert, qui était maire de Jérusalem puis ministre responsable de l’ILA faisait des voyages internationaux aux frais du Centre Wiesenthal, il se peut donc qu’il y ait eu conflit d’intérêts. Ehud Olmert, ex premier ministre israélien, est poursuivi pour des affaires de corruption.
Cette plainte a été déposée auprès du contrôleur national, Micha Lindenstrauss, par Kais Nasser, mandaté par une nouvelle organisation, l’Association pour les Affaires Musulmanes, qui représente les responsables des principales communautés musulmanes en Israël. Elle porte également sur la façon dont les restes humains de Palestiniens qui y étaient enterrés ont été enlevés.
Le quotidien israélien, Haaretz, a mené une enquête approfondie sur ce sujet révélant de la part du Centre Simon Wiesenthal de nombreux manquements au respect de ces lieux historiques. Comble du cynisme donc le Centre Wiesenthal n’hésite pas à malmener des restes humains - arabes - pour construire un soi disant « Musée de la Tolérance ».
Le Centre Simon Wiesenthal s’est reconverti ces dernières années en « chasseur « d’anti sionistes menant des opérations médiatiques et parfois juridiques contre quiconque critique Israël, usant et abusant de l’accusation d’«antisémitisme ».
Reste à savoir si ses « nouvelles fonctions » le sont en coordination avec le Mossad israélien puisque le fondateur du Centre, Simon Wiesenthal , comme vient de le révéler l’historien israélien, Tom Segev, était un espion du Mossad.
Simon Wiesenthal devenu célèbre pour sa chasse aux Nazis après la Seconde Guerre Mondiale, a fourni des renseignements au Mossad non seulement sur des criminels de guerre nazis mais également sur des scientifiques allemands travaillant dans des pays arabes.
En 1948, Simon Wiesenthal a participé à une tentative avortée pour capturer le criminel de guerre nazi, Adolf Eichmann, enlevé en Argentine des années plus tard par le Mossad « extradé » mani militari en Israël en 1960 où il a été jugé condamné à mort et exécuté. Son procès a donné lieu à l’époque à toute une mise en scène politique, les Sionistes ayant besoin de « raviver la flamme » de la culpabilisation européenne en général et allemande en particulier pour pouvoir agir à leur guise sans craindre d’être critiqués pour les crimes de guerre qu’eux-mêmes ont commis et continuent de commettre notamment contre les Palestiniens les Egyptiens et les Libanais.
Dans les années 60 Wiesenthal a fourni des renseignements sur des néo Nazis mais également sur des scientifiques et ingénieurs allemands travaillant en Egypte sur un programme de roquette.
Simon Wiesenthal a travaillé environ 10 ans pour le Mossad après la capture d'Eichman. Le Mossad a financé la création du bureau de Wiesenthal à Vienne en Autriche et lui a versé un salaire de 300 $ par mois en liquide.
Tom Segev base ses conclusions sur la collaboration de Simon Wiesenthal avec le Mossad sur des documents consultés appartenant aux archives personnelles de Wiesenthal et des interviews d' ex agents du Mossad responsables des contacts avec Wiesenthal.
Le Centre Simon Wiesenthal quant à lui est à l’origine de la construction très controversée d’un « Musée de la Tolérance » sur un très ancien cimetière musulman de Jérusalem, en coopération avec l’administration territoriale israélienne ( ILA administration des territoires occupés de Cisjordanie incluse la ville de Jérusalem ) et la mairie sioniste de Jérusalem.
De nombreuses tombes musulmanes ont été profanées, les évacuations hâtives de restes humains parfois effectuées dans la boue ont endommagé certains squelettes. Une plainte a été déposée pour savoir comment le centre Simon Wiesenthal a pu acquérir ce terrain. A l’époque, Ehud Olmert, qui était maire de Jérusalem puis ministre responsable de l’ILA faisait des voyages internationaux aux frais du Centre Wiesenthal, il se peut donc qu’il y ait eu conflit d’intérêts. Ehud Olmert, ex premier ministre israélien, est poursuivi pour des affaires de corruption.
Cette plainte a été déposée auprès du contrôleur national, Micha Lindenstrauss, par Kais Nasser, mandaté par une nouvelle organisation, l’Association pour les Affaires Musulmanes, qui représente les responsables des principales communautés musulmanes en Israël. Elle porte également sur la façon dont les restes humains de Palestiniens qui y étaient enterrés ont été enlevés.
Le quotidien israélien, Haaretz, a mené une enquête approfondie sur ce sujet révélant de la part du Centre Simon Wiesenthal de nombreux manquements au respect de ces lieux historiques. Comble du cynisme donc le Centre Wiesenthal n’hésite pas à malmener des restes humains - arabes - pour construire un soi disant « Musée de la Tolérance ».
Le Centre Simon Wiesenthal s’est reconverti ces dernières années en « chasseur « d’anti sionistes menant des opérations médiatiques et parfois juridiques contre quiconque critique Israël, usant et abusant de l’accusation d’«antisémitisme ».
Reste à savoir si ses « nouvelles fonctions » le sont en coordination avec le Mossad israélien puisque le fondateur du Centre, Simon Wiesenthal , comme vient de le révéler l’historien israélien, Tom Segev, était un espion du Mossad.