[ 27/08/2010 - 16:48 ] |
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Al-Qods occupée – CPI Des sources politiques sionistes ont confirmé que l’administration américaine a donné son accord au projet du ministre sioniste des renseignements, Dan Meridor, pour la reprise des constructions dans les quartiers coloniaux présents sur les frontières, à partir du 26 septembre prochain. Il s’agit de la fin du délai des 6 mois durant lequel les autorités ont prétendu geler partiellement la colonisation. Ces sources ont déclaré au journal hébreu « Maarif » hier jeudi, que Washington accepté l’idée d’une division en deux des colonies. La première comprendrait les colonies supposées rester une partie de l’entité sioniste, après un règlement pacifique durable au conflit. Elles sont construites à la base sur des terres adjacentes à la ligne verte (les frontières établies avant 1967), et Washington a confirmé son accord à la reprise des constructions colonialistes dans cette zone. La deuxième partie inclut les colonies dont l’entité sioniste est censée se retirer en cas de conclusion d’un compromis. Ces sources ont également ajouté que des contacts et des réunions ont lieu entre l’entité sioniste et les Etats-Unis à cet égard, afin de parvenir à une formule convenable qui permettrait le lancement des négociations directes entre les deux côtés, mercredi prochain. Le ministre sioniste des Affaires étrangères, Avigdor Liebermann, avait révélé que les 1600 unités coloniales « ont passé toutes les procédures d’approbation », et que « les travaux de construction pourraient commencer immédiatement avec 2000 autres habitations en Cisjordanie occupée une fois le délai d’interdiction terminé ». De plus, est exclue la réelle possibilité de parvenir à un accord à l’issue des négociations directes entre l’autorité d’Abbas et l’occupation sioniste. Ces déclarations et ces fuites ont été tenues au moment où l’ex-président de l’autorité palestinienne, Mahmoud ‘Abbas et son équipe courent après des négociations inutiles, et confirme qu’il ira aux pourparlers, même si le taux de réussite n’est que d’un pour cent. |