Par Irish Times
Un boycott culturel d'Israël a été lancé hier, avec la participation de plus de 150 artistes irlandais qui ont annoncé leur intention de ne pas se produire en Israël, ou de ne pas accepter de financement en provenance d’institutions liées au gouvernement israélien.
L'Irlande Palestine Solidarity Campaign (IPSC) a déclaré que c'était pour protester contre "traitement du peuple palestinien" par Israël.
Raymond Deane de l'IPSC a cité une déclaration du ministère israélien des Affaires étrangères en 2005 disant qu'ils considéraient la culture comme un outil de propagande.
Il a déclaré : "Les artistes qui s'y produisent soutiennent le gouvernement israélien, qu'ils le veuillent ou non."
L'engagement signé par les artistes déclare que le boycott continuera : "jusqu'à ce qu’Israël respecte le droit international et les principes universels des droits de l'homme". M. Deane a déclaré: «Vous ne pouvez pas vraiment l’amener à cela complètement, mais cela signifie, "au moins la fin de l'occupation de la Palestine, le démantèlement ou au moins l'arrêt des colonies, et qu’Israël négocient de bonne foi avec les Palestiniens".
Un porte-parole de l’ambassade d'Israël a déclaré que le boycott "était regrettable et déplacé» et que «vilipender et ostraciser Israël et encourager des programmes perdant-perdant de boycott n'est pas la façon de garantir les droits légitimes des Palestiniens».
Le chanteur et compositeur, Damien Dempsey espère que le boycott encouragera à ‘s’exprimer’ les jeunes en Israël qui sont en désaccord avec le gouvernement.
Il a dit que les militaires dirigeaient tout en Israël et qu'il fallait que le monde se dresse contre eux.
Le musicien Donal Lunny a déclaré qu’il y participait pour "exprimer sa solidarité avec le peuple palestinien".
Interrogé sur les chances de succès du boycott, Eoin Dillon, un membre du groupe irlandais Kila, a déclaré: «Cela a marché en Afrique du Sud."
L'Irlande Palestine Solidarity Campaign (IPSC) a déclaré que c'était pour protester contre "traitement du peuple palestinien" par Israël.
Raymond Deane de l'IPSC a cité une déclaration du ministère israélien des Affaires étrangères en 2005 disant qu'ils considéraient la culture comme un outil de propagande.
Il a déclaré : "Les artistes qui s'y produisent soutiennent le gouvernement israélien, qu'ils le veuillent ou non."
L'engagement signé par les artistes déclare que le boycott continuera : "jusqu'à ce qu’Israël respecte le droit international et les principes universels des droits de l'homme". M. Deane a déclaré: «Vous ne pouvez pas vraiment l’amener à cela complètement, mais cela signifie, "au moins la fin de l'occupation de la Palestine, le démantèlement ou au moins l'arrêt des colonies, et qu’Israël négocient de bonne foi avec les Palestiniens".
Un porte-parole de l’ambassade d'Israël a déclaré que le boycott "était regrettable et déplacé» et que «vilipender et ostraciser Israël et encourager des programmes perdant-perdant de boycott n'est pas la façon de garantir les droits légitimes des Palestiniens».
Le chanteur et compositeur, Damien Dempsey espère que le boycott encouragera à ‘s’exprimer’ les jeunes en Israël qui sont en désaccord avec le gouvernement.
Il a dit que les militaires dirigeaient tout en Israël et qu'il fallait que le monde se dresse contre eux.
Le musicien Donal Lunny a déclaré qu’il y participait pour "exprimer sa solidarité avec le peuple palestinien".
Interrogé sur les chances de succès du boycott, Eoin Dillon, un membre du groupe irlandais Kila, a déclaré: «Cela a marché en Afrique du Sud."