La médiation américaine dans les discussions indirectes entre Israéliens et Palestiniens, appelle à résoudre, d’ici deux ans, toutes les questions du statut final, a indiqué hier le chef des négociateurs palestiniens Saëb Erekat. “Les discussions avec l’émissaire américain pour le Proche Orient (George Mitchell), étaient fondées sur une base solide et claire menant à la création d’un Etat palestinien indépendant pouvant vivre en paix et en sécurité avec Israël, et à la fin de la colonisation” conformément aux accords conclus entre les deux parties, a indiqué M. Erekat dans une déclaration rapportée par des médias. M. Arekat a estimé que “les négociations de proximité avec Israël sont claires et ont seulement besoin de décisions des deux parties”, jugeant “inadmissible” tout troc sur les droits des Palestiniens, ni sur El Qods et le droit au retour des réfugiés ou encore sur la question d’eau”. La ville sainte d’El Qods-est, Khan Younès, Ariha et El-Khalil sont des régions occupées par Israël depuis 1967, a rappelé le chef des négociateurs palestiniens. “Il est injuste d’occuper par la force ces régions qui font partie de la souveraineté de la Palestine”, a-t-il réitéré.
L’Onu dénonce le blocus israélien de Ghaza
L’Onu a dénoncé hier le blocus qu’Israël impose à la bande de Ghaza qui entrave gravement la reconstruction des bâtiments et infrastructures, détruits lors de l’offensive meurtrière israélienne de décembre 2008-janvier 2009. Seuls 25% des dégâts ont pu être réparés, plus d’un an et demi après l’offensive dévastatrice, souligne le rapport publié dimanche par le programme de développement de l’ONU. L’Onu estime qu’en dépit de quelques améliorations “l’aide internationale s’est révélée largement inefficace” du fait notamment qu’elle s’interdit d’utiliser du matériel importé à travers la frontière égyptienne.
L’Onu dénonce le blocus israélien de Ghaza
L’Onu a dénoncé hier le blocus qu’Israël impose à la bande de Ghaza qui entrave gravement la reconstruction des bâtiments et infrastructures, détruits lors de l’offensive meurtrière israélienne de décembre 2008-janvier 2009. Seuls 25% des dégâts ont pu être réparés, plus d’un an et demi après l’offensive dévastatrice, souligne le rapport publié dimanche par le programme de développement de l’ONU. L’Onu estime qu’en dépit de quelques améliorations “l’aide internationale s’est révélée largement inefficace” du fait notamment qu’elle s’interdit d’utiliser du matériel importé à travers la frontière égyptienne.