25/03/2010
L'état a argué mardi que les Forces de Défense d'Israël ont le droit de faire des arrestations en zone A sur les bases d'un ordre de 1970 qui ne permet pas à des personnes non-autorisées de rester là pendant plus de 48 heures sans permission de la commanderie militaire.
L'état a donné l'argument à la Cour du District de Tel Aviv en défense de la décision d'arrpeter Ariadna Jove Marti et Bridgtte Chappell, deux activistes internationales, à Bir Zeit près de Ramallah le mois dernier.
Marti, qui est d'Espagne, et Chappell, d'Australie, avaient été arrêtées le 7 février en zone A, qui est sous le plein contrôle Palestinien. Elles avaient été arrêtées et immédiatement expulsées d'Israël mais un appel de la Cour Suprême a permis leur libération.
A la cour mardi, les avocats Omer Shatz et Yiftah Cohen ont argué dans leur appel que l'Etat d'Israël n'ont aucune autorité à propos de sujet civils en zone A, et donc que l'arrestation des deux activistes était illégale - et qu'elles devraient être permises de retour à Ramallah.
Pour sa part, l'état a dit que Marti et Chappell appartiennent au Mouvement de Solidarité International, une organisation "qui supporte une idéologie qui est anti-Sioniste, pro-Palestinienne et universellement révolutionnaire."L'état a maintenu : "Les activistes de l'organisation sont impliquées dans des activités contre les forces de sécurité dans des zones de friction entre la Judée et la Samarie et Jérusalem Est."
Pour sa part, l'état a dit que Marti et Chappell appartiennent au Mouvement de Solidarité International, une organisation "qui supporte une idéologie qui est anti-Sioniste, pro-Palestinienne et universellement révolutionnaire."L'état a maintenu : "Les activistes de l'organisation sont impliquées dans des activités contre les forces de sécurité dans des zones de friction entre la Judée et la Samarie et Jérusalem Est."
Les deux ont "tiré avantage de leurs visas de touriste afin de pouvoir participer à des manifestations en zones de friction", a argué l'état.
Durant des délibérations plus tôt cette semaine devant le Juge Oded Mudrik, des représentants du Shin Bet ont demandé à présenter des informations classées sur les deux activistes. Le juge a rejeté la requête et a dit que le matériel était "hors de propos" de la décision d'expulser les deux, comme leurs activités ne posent pas une menace contre la sécurité.
A une étape suivante, l'état a présenté un ordre militaire de 1970 qui permet l'entrée en Judée et en Samarie mais interdit de faire de ces zones un lieu de résidence, temporaire ou permanent, ou pour plus de 48 heures "à moins que la commanderie militaire permette eci personnellement."
L'état a argué que les deux activistes n'avaient pas reçu une telle permission.
Dans sa réponse, l'état n'a pas répondu à l'argument que Bir Zei est en zone A.
Mudrik a ordonné que l'expulsion soit retardée de sept jours supplémentaire afin que les deux puissent faire appel contre l'ordre à la Cour Suprême.
Durant des délibérations plus tôt cette semaine devant le Juge Oded Mudrik, des représentants du Shin Bet ont demandé à présenter des informations classées sur les deux activistes. Le juge a rejeté la requête et a dit que le matériel était "hors de propos" de la décision d'expulser les deux, comme leurs activités ne posent pas une menace contre la sécurité.
A une étape suivante, l'état a présenté un ordre militaire de 1970 qui permet l'entrée en Judée et en Samarie mais interdit de faire de ces zones un lieu de résidence, temporaire ou permanent, ou pour plus de 48 heures "à moins que la commanderie militaire permette eci personnellement."
L'état a argué que les deux activistes n'avaient pas reçu une telle permission.
Dans sa réponse, l'état n'a pas répondu à l'argument que Bir Zei est en zone A.
Mudrik a ordonné que l'expulsion soit retardée de sept jours supplémentaire afin que les deux puissent faire appel contre l'ordre à la Cour Suprême.