USA - 14-08-2009 |
De graves violations des droits de l'homme sont commises par Israël dans les territoires palestiniens occupés, affirme un rapport du Comité spécial de l'ONU chargé d'enquêter sur les pratiques israéliennes.
A l'issue d'une mission de dix jours dans trois pays du Moyen-Orient (Egypte, Jordanie et Syrie), le Comité spécial a exprimé vendredi « sa préoccupation particulière pour le nombre croissant de cas de violence par des colons juifs contre la population palestinienne en Cisjordanie en présence de l'armée et de la police israélienne ».
Les trois membres de la délégation ont noté également les pressions sur les défenseurs des droits de l'homme, israéliens et palestiniens, qui travaillent pour alléger les souffrances dans les territoires occupés.
Le Comité spécial, qui est composé de trois Etats membres (Sri Lanka, Malaisie et Sénégal), souligne également «les violations récurrentes des droits économiques et culturels, en particulier le droit à l'éducation et à la santé, les restrictions supplémentaires aux déplacements, les attaques et les destructions de terrains agricoles et de vergers palestiniens».
Le rapport rappelle que depuis sa création en 1968 par l'Assemblée générale de l'ONU le Comité spécial s'est vu refuser toute coopération de la part du gouvernement israélien ou un accès aux territoires palestiniens occupés.
Lors de sa mission de dix jours, la délégation du Comité spécial a enregistré les témoignages de témoins et d'organisations non gouvernementales sur la situation des droits de l'homme dans les territoires palestiniens occupés et au Golan occupé. La délégation a rencontré les ministres des affaires étrangères en Egypte, en Jordanie et en Syrie et d'autres responsables gouvernementaux.
A l'issue d'une mission de dix jours dans trois pays du Moyen-Orient (Egypte, Jordanie et Syrie), le Comité spécial a exprimé vendredi « sa préoccupation particulière pour le nombre croissant de cas de violence par des colons juifs contre la population palestinienne en Cisjordanie en présence de l'armée et de la police israélienne ».
Les trois membres de la délégation ont noté également les pressions sur les défenseurs des droits de l'homme, israéliens et palestiniens, qui travaillent pour alléger les souffrances dans les territoires occupés.
Le Comité spécial, qui est composé de trois Etats membres (Sri Lanka, Malaisie et Sénégal), souligne également «les violations récurrentes des droits économiques et culturels, en particulier le droit à l'éducation et à la santé, les restrictions supplémentaires aux déplacements, les attaques et les destructions de terrains agricoles et de vergers palestiniens».
Le rapport rappelle que depuis sa création en 1968 par l'Assemblée générale de l'ONU le Comité spécial s'est vu refuser toute coopération de la part du gouvernement israélien ou un accès aux territoires palestiniens occupés.
Lors de sa mission de dix jours, la délégation du Comité spécial a enregistré les témoignages de témoins et d'organisations non gouvernementales sur la situation des droits de l'homme dans les territoires palestiniens occupés et au Golan occupé. La délégation a rencontré les ministres des affaires étrangères en Egypte, en Jordanie et en Syrie et d'autres responsables gouvernementaux.