07 Août 2009 | |
Johannesburg / Deux organisations de droits de l'homme en Afrique du Sud ont demandé qu'on puisse traduire devant la justice /70/ personnes sud-africains possédant la nationalité israélienne et ayant participé aux crimes perpétrés par l'armée de l'occupant israélien lors de son agression contre la Bande de Gaza à la fin de l'année écoulée et au début de cette année. Selon le site électronique de l'organisation "Alliance de solidarité palestinienne", a indiqué que l'alliance et le "Réseau Review Media" ont appelé le gouvernement sud-africain à arrêter immédiatement le lieutenant-colonel /David Benjamin/ de l'armée israélienne qui se trouve actuellement en Afrique du sud. Les deux organisations avaient dit qu'elles ont présenté la semaine dernière une plainte à la justice avec des documents d'appui composés de plus de /3500/ pages dont des pièces à charge reçues de l'organisation internationale /Human Rights Watch/. Les deux organisations non gouvernementales sud-africaines ont rejoint aux documents à charge les noms de /70/ personnes sud-africains ayant la nationalité israélienne avaient participé aux différentes opérations militaires de l'agression contre Gaza. Le plus important dans cette plainte, ayant reçu une crédibilité sans faille, c'est que cette campagne a été conduite par un citoyen sud-africain, juif, hostile à la politique répressive menée par Israël. Sur un autre plan, l'avocate libanaise, /May al-Khansa/, présidente de l'alliance internationale de la lutte contre l'impunité a demandé aujourd'hui de faire le procès des espions à la solde de l'ennemi israélien lors de l'agression de /2006/ et de leur infliger les sentences exemplaires. Lors d'une conférence de presse aujourd'hui à Beyrouth, Maitre al-Khansa/ a mis en évidence les différents voies et moyens légaux, juridiques et procédurières, susceptibles d'ouvrir les accès afin de poursuivre les espions et les agents ayant vendu leur âmes à l'ennemi en commettant une trahison flagrante à l'encontre de leur patrie. T. Slimani sana.sy |