Liban - 19-07-2009 |
Le collectif anarchiste a-films a publié un nouveau film ("Une petite gorgée de café"/26min) sur la situation dans le camp de Nahr al-Bared au Nord du Liban.
En mai 2007, une guerre a éclaté dans le camp de réfugiés palestiniens Nahr al-Bared au Nord du Liban, entre Fatah al-Islam et l’armée libanaise. Elle a pris fin en septembre 2007.
Pendant et après les violents combats l’armée libanaise a détruit systématiquement et complètement le camp. Deux ans après le commencement de la guerre l’ancien camp, le cœur de Nahr al-Bared, est libéré des décombres. La reconstruction n’a jusqu’à présent pas eu lieu et les réfugiés sont de plus en plus désespérés.
L’armée tient les habitants à l’écart de l’ancien camp, de plus elle contrôle les entrées et les sorties des zones environnantes de "nouveau camp". Sans une permission valable de l’armée personne n’est autorisé à entrer.
Des réfugiés et des ONG tentent, tant bien que mal, de remettre sur pied l’économie, qui fut un jour robuste, du camp. Leurs efforts sont néanmoins fortement altérés par l’isolation du camp: Nahr al-Bared est totalement coupé des villages voisins.
Une économie qui souffre de privations et un chômage répandu sont des conséquences de la destruction et de l’isolement du camp des réfugiés par l’armée libanaise.
Ce film de 26 minutes accompagne un père et son fils dans leur chômage.
Tous deux habitent depuis plus d’un an dans des baraques en métal et attendent un retour dans le camp.
A travers la documentation du quotidien des deux personnes, le film aborde les soucis actuels dominants des réfugiés du camp de Nahr al-Bared: la reconstruction en attente, la situation économique catastrophique, le chômage et le désespoir.
Le film peut être visionné et téléchargé ici:
http://a-films.blogspot.com/2009/06/110609fr.html#1
Vous trouverez des informations de fonds et d’autres vidéos du camp de Nahr al-Bared à l'adresse suivante:
http://a-films.blogspot.com/
Pendant et après les violents combats l’armée libanaise a détruit systématiquement et complètement le camp. Deux ans après le commencement de la guerre l’ancien camp, le cœur de Nahr al-Bared, est libéré des décombres. La reconstruction n’a jusqu’à présent pas eu lieu et les réfugiés sont de plus en plus désespérés.
L’armée tient les habitants à l’écart de l’ancien camp, de plus elle contrôle les entrées et les sorties des zones environnantes de "nouveau camp". Sans une permission valable de l’armée personne n’est autorisé à entrer.
Des réfugiés et des ONG tentent, tant bien que mal, de remettre sur pied l’économie, qui fut un jour robuste, du camp. Leurs efforts sont néanmoins fortement altérés par l’isolation du camp: Nahr al-Bared est totalement coupé des villages voisins.
Une économie qui souffre de privations et un chômage répandu sont des conséquences de la destruction et de l’isolement du camp des réfugiés par l’armée libanaise.
Ce film de 26 minutes accompagne un père et son fils dans leur chômage.
Tous deux habitent depuis plus d’un an dans des baraques en métal et attendent un retour dans le camp.
A travers la documentation du quotidien des deux personnes, le film aborde les soucis actuels dominants des réfugiés du camp de Nahr al-Bared: la reconstruction en attente, la situation économique catastrophique, le chômage et le désespoir.
Le film peut être visionné et téléchargé ici:
http://a-films.blogspot.com/2009/06/110609fr.html#1
Vous trouverez des informations de fonds et d’autres vidéos du camp de Nahr al-Bared à l'adresse suivante:
http://a-films.blogspot.com/
Source : http://a-films.blogspot.com/