Par AP jpost
"C'est notre position. Vraiment", a assuré Barak.
S'exprimant au côté de Gates lors d'une conférence de presse à l'hôtel King David à Jérusalem, le ministre de la Défense a cependant réaffirmé qu'une frappe militaire d'Israël (sur l'Iran) restait une possibilité, avant de préciser : "Nous ne sommes pas aveugles, chacune de nos actions peut avoir des conséquences sur nos voisins (…), et nous asseyons de prendre cela en compte."
Selon Gates, la tentative de l'administration Obama de s'engager diplomatiquement avec l'Iran n'est pas "une offre à durée indéterminée" et la Maison Blanche attend une réponse de la part de Téhéran d'ici l'Assemblée générale des Nations-Unies qui se tiendra fin septembre 2009.
Robert Gates devrait rencontrer le Premier ministre Binyamin Netanyahou plus tard dans la journée.