Hébron - CPI
L’association des jeunes musulman et le
Comité des familles des prisonniers politiques en Cisjordanie ont
appelé la population palestinienne, le Conseil législatif, les
représentants des factions palestiniennes et organisations des droits
humains, à participer au sit-in "les libertés avant le gouvernement», et
dans la ville d'el-Khalil, le mercredi 23/11.
«Avec l'approche de la réunion qui se
tiendra entre le chef du bureau politique du Hamas, Khaled Mechaal et
président de l'Autorité Mahmoud Abbas, nous avons attendu à l'emporter
un esprit de conciliation aidant à l'optimisme de l'achèvement de la
réconciliation. Mais plusieurs violations ont été enregistrées au cours
des derniers jours sur le niveau des libertés et des arrestations
politiques », a contesté l’association et le comité contre les campagnes
oppressives des services sécuritaires alliés à Abbas. "
Le communiqué conjoint, publié par
l'Association de la jeunesse musulmane et le Comité des familles des
détenus, a dénoncé les violations, y compris: le tir de balles réelles
qui a ciblé la voiture de l’ancien représentant du bloc islamique de
l'Université d’el-Najjah Abdul Rahman Chtayyeh, et commis par des agents
de sécurité à Naplouse. L’arrestation d’un certain nombre d'étudiants
dans les universités palestiniennes sur le fond de l'opinion et
l'activité politique dont plusieurs d’entres eux ont été torturés.
« Certain nombre de combattants de la
résistance des prisonniers libérés partisans du Hamas et Jihad
islamique. La privation des détenus de la ville d’el-Khalil, dans la
prison de Jéricho(Ariha) pour communiquer avec leurs proches ou leur
rendre visite, il y a plus de deux semaines », a-t-il ainsi ajouté.
Le communiqué a souligné que ces abus
sont révélateurs de la présence de certains côtés sécuritaires
appartenant à l’Autorité qui veulent nuire délibérément à la
réconciliation et l'empêcher, mais nous appelons à la protestation
continue au niveau médiatique et sur le terrain, et transmettre un
message clair et fort pour les différentes parties que nous
n'accepterons pas de réconciliation incomplète avec la poursuite de la
répression, l'interdiction des libertés et les arrestations politiques."
Il est à noter que plus de 90 détenus politiques sont encore détenus dans les prisons de l’Autorité, y compris environ 30 prisonniers ont passé des périodes entre un à quatre ans, mais toutes les réunions et les décisions des tribunaux n’ont pas contribué à leur libération.
Il est à noter que plus de 90 détenus politiques sont encore détenus dans les prisons de l’Autorité, y compris environ 30 prisonniers ont passé des périodes entre un à quatre ans, mais toutes les réunions et les décisions des tribunaux n’ont pas contribué à leur libération.