[ 31/05/2011 - 00:10 ] |
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Nazareth - CPI Des journaux en hébreu publiés aujourd'hui ont affirmé que les autorités occupantes israéliennes ne satisfont pas seulement par les efforts diplomatiques pour arrêter la "liberté Flottille 2", qui naviguera à la bande de Gaza, à la fin du mois prochain, mais elles auront recours à l'usage de la force contre quiconque ne se conforme pas aux ordres de leurs forces navales, selon leurs propos. Le journal "Haaretz"a rapporté dans un rapport publié, mardi 31 / 5, que le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu n'a pas exclu le recours à la force contre quiconque tente de violer les ordres de la Marine et se diriger vers la côte de Gaza, en référence aux participants à la "liberté Flottille 2" , qui devrait commencer son voyage vers le secteur assiégé, le 21 du mois de Juin prochain. Le rapport élaboré par l'analyste des affaires militaires dans le journal "Amos Harel", a souligné que les forces navales sionistes ont fait des préparatifs pour arrêter la flotte de la liberté 2, où elles ont entraîné pour intercepter les navires, avec la mobilisation des éléments de la réserve des officiers, est conçue pour faire face à quinze navires devraient participer dans la flotte prochaine, indiquant que la Marine se concentrera cette fois sur les procédures de contrôle des foules, n'a pas également exclu de recourir à la force. Les préparatifs militaires ont inclu aussi une partie de renseignements dépendant sur la communication ouverte et le contrôle des sites Web, selon le journal. Les rapports de presse citant des sources militaires sionistes, en disant: "Bien que le traitement de ce qu'on appelle des «défauts» dans le processus d'interception menée par les forces marines contre les navires de la flotte de la liberté précédente, en ce jour (31/05/2010), mais qu 'il n'y a pas d'alternative pour surprendre les navires et de contrôler les manifestants par la force ". Les rapports ont souligné à ce que le chef d'état-major de l'armée sioniste précédent, Gabi Ashkenazi, a prétendu dans son témoignage devant la commission d'enquête "Terkl" qui a été mise en place par les autorités occupantes, sur la Flottille de la liberté, et a terminé ses constatations pour justifier leur utilisation de la force contre les militants humanitaires pacifistes, où Ashkénaze a assuré que dans le cas nécessaire, l'utilisation de tireurs d'élite dans la lutte contre les manifestants, qui a déclaré qu'ils vont recours à la violence, permettrait d'éviter l'apparition d'affrontements t directs qui pourraient mettre la vie des soldats plus en danger, selon ses prétentions |