« Le chemin du repentir », comme se plaisent à l’appeler les sionistes, est encore bien long pour le juge sud-africain Richard Goldstone, qui a osé en 2009 bravé l’interdit, en accusant l’entité sioniste de crime de guerre, voire contre l’humanité, lorsqu’elle a tué quelques 1400 palestiniens dans son offensive plomb durci contre la bande de Gaza.
Depuis son volte-face de samedi, effectué sur les pages du Washington Post, c’est le début d’un long processus d’humiliations qui s’annonce.
Tout d’abord, il doit se « confesser » auprès des différentes instances internationales, et en particulier l’ONU, selon la demande du ministre de la guerre Ehud Barak.
Pour le premier ministre, Benjamin Netayahou, il faut à tout prix annuler son rapport. Il ne cesse de le répéter, malgré la difficulté que cela représente. Mais il semble avoir en mémoire l’affaire de la résolution votée par l’Assemblée générale en 1975, qualifiant le sionisme comme étant une idéologie racisme et de discrimination raciale et que l’entité sioniste parvint à éliminer en 1991. Bien entendu avec l’aide du parrain américain !
Pour le ministre des affaires stratégiques, Moshé Yaalone, il est préférable que Goldstone lui-même écrive une lettre au secrétaire général de l’ONU pour innocenter Israël de toutes les accusations qu’il a formulées dans son rapport.
Alors que pour le président israélien, Shimon Perez, il faut à tout prix que le juge Goldstone présente ses excuses à d’Israël. Car, d’après lui, la guerre plomb durci au cours de laquelle 1400 palestiniens ont été tués était « une réponse simple aux tirs de milliers de roquettes sur des citoyens israéliens innocents », avant de se targuer que l’armée israélienne est « la plus morale du monde ».
Sachant que l’invitation en Palestine occupée est d’ores et déjà faite depuis ce mardi par la voix du ministre de l’intérieur. Et le juge sud-africain s’est empressé de l’accepter avec plaisir , affirmant qu'il serait ''heureux de venir'' et qu'il aura ''toujours de l'amour pour l'Etat d'Israël''.
Pourtant c’était par « amour pour Israël » qu’il avait rédigé son rapport qui a mis hors d’eux les Israéliens, sans trop satisfaire les anti-sionistes, selon lesquels il n’a pas pu sortir du dilemme de placer la victime et le bourreau sur le même pied d’égalité. Rappelons que son vote au sein de l’Assemblée général avait également été avorté lorsque l’Autorité palestinienne s’est rétracté, sous la menace des Israéliens .
En tout cas, le juge sud-africain restera bien sous surveillance israélienne et sioniste. « La rédemption est encore loin pour Goldstone. Il devrait faire encore plus pour être pardonné », a prévenu le chef de la Fédération sioniste sud-africaine (SAZF) Avrom Krenge. Lequel s’est targué que c’est surtout grâce à sa fédération et à la communauté juive d’Afrique du sud que Goldstone s’est rétracté.
Cette association s’était ralliée la famille du juge à sa cause, pour lui interdire la participation au bar mitzvah de son petit-fils, la fête de son passage à l’âge mûr, organisée à la synagogue de Johannesburg l’an dernier.
Mis à part l’arrogance du ton de Krenge, inhérente désormais aux Sionistes, ses aveux portent en eux la preuve, une fois de plus, que c’est seulement par les moyens de « terrorisation », d’intimidation, ou de corruption qu’Israël rallie les autres à sa cause injuste, même les juifs d’entre eux !!
Les affaires qui l’attestent abondent: dont celles les plus récentes de la correspondante de la Maison Blanche Helen Thomas, de l’animateur de la CNN, qui ont été démis de leur poste pour avoir critiqué l’entité sioniste ! A la grande différence que ces deux journalistes résistent ! Alors que Goldstone s'est effondré.
Loin d'être source de fierté, la chute du juge Richard Goldstone est une preuve de plus des moyens perfides et terroristes qui ont accompagné cette entité, depuis son implantation dans la région.
Depuis son volte-face de samedi, effectué sur les pages du Washington Post, c’est le début d’un long processus d’humiliations qui s’annonce.
Tout d’abord, il doit se « confesser » auprès des différentes instances internationales, et en particulier l’ONU, selon la demande du ministre de la guerre Ehud Barak.
Pour le premier ministre, Benjamin Netayahou, il faut à tout prix annuler son rapport. Il ne cesse de le répéter, malgré la difficulté que cela représente. Mais il semble avoir en mémoire l’affaire de la résolution votée par l’Assemblée générale en 1975, qualifiant le sionisme comme étant une idéologie racisme et de discrimination raciale et que l’entité sioniste parvint à éliminer en 1991. Bien entendu avec l’aide du parrain américain !
Pour le ministre des affaires stratégiques, Moshé Yaalone, il est préférable que Goldstone lui-même écrive une lettre au secrétaire général de l’ONU pour innocenter Israël de toutes les accusations qu’il a formulées dans son rapport.
Alors que pour le président israélien, Shimon Perez, il faut à tout prix que le juge Goldstone présente ses excuses à d’Israël. Car, d’après lui, la guerre plomb durci au cours de laquelle 1400 palestiniens ont été tués était « une réponse simple aux tirs de milliers de roquettes sur des citoyens israéliens innocents », avant de se targuer que l’armée israélienne est « la plus morale du monde ».
Sachant que l’invitation en Palestine occupée est d’ores et déjà faite depuis ce mardi par la voix du ministre de l’intérieur. Et le juge sud-africain s’est empressé de l’accepter avec plaisir , affirmant qu'il serait ''heureux de venir'' et qu'il aura ''toujours de l'amour pour l'Etat d'Israël''.
Pourtant c’était par « amour pour Israël » qu’il avait rédigé son rapport qui a mis hors d’eux les Israéliens, sans trop satisfaire les anti-sionistes, selon lesquels il n’a pas pu sortir du dilemme de placer la victime et le bourreau sur le même pied d’égalité. Rappelons que son vote au sein de l’Assemblée général avait également été avorté lorsque l’Autorité palestinienne s’est rétracté, sous la menace des Israéliens .
En tout cas, le juge sud-africain restera bien sous surveillance israélienne et sioniste. « La rédemption est encore loin pour Goldstone. Il devrait faire encore plus pour être pardonné », a prévenu le chef de la Fédération sioniste sud-africaine (SAZF) Avrom Krenge. Lequel s’est targué que c’est surtout grâce à sa fédération et à la communauté juive d’Afrique du sud que Goldstone s’est rétracté.
Cette association s’était ralliée la famille du juge à sa cause, pour lui interdire la participation au bar mitzvah de son petit-fils, la fête de son passage à l’âge mûr, organisée à la synagogue de Johannesburg l’an dernier.
Mis à part l’arrogance du ton de Krenge, inhérente désormais aux Sionistes, ses aveux portent en eux la preuve, une fois de plus, que c’est seulement par les moyens de « terrorisation », d’intimidation, ou de corruption qu’Israël rallie les autres à sa cause injuste, même les juifs d’entre eux !!
Les affaires qui l’attestent abondent: dont celles les plus récentes de la correspondante de la Maison Blanche Helen Thomas, de l’animateur de la CNN, qui ont été démis de leur poste pour avoir critiqué l’entité sioniste ! A la grande différence que ces deux journalistes résistent ! Alors que Goldstone s'est effondré.
Loin d'être source de fierté, la chute du juge Richard Goldstone est une preuve de plus des moyens perfides et terroristes qui ont accompagné cette entité, depuis son implantation dans la région.