Le délégué permanent du Liban au Conseil de Sécurité de l’ONU Nawwaf Salam, a affirmé que la protection de la souveraineté libanaise comprend entre autre la défense de toutes les ressources naturelles du pays dans ses eaux régionales et dans la zone économique.
Dans un communiqué publié durant les débats consacrés au rapport du secrétaire général de l’ONU Ban Ki Moon sur l’application de la résolution 1701, Salam a rappelé qu’Israël continue de transgresser les résolutions internationales depuis 1978, et qu’il a violé l’espace libanais 7817 fois depuis la publication de la résolution 1701, ce qui équivaut à 11 violations par jour.
La dernière violation israélienne est celle liée à l'implantation du système d’espionnage dans une zone d’action des forces onusiennes. Ban Ki Moon avait exprimé son inquiétude face aux violations israéliennes aériennes, et appelé « Israël » à mettre fin immédiatement à ces agissements.
Tout en soulignant que l’entité sioniste poursuivait son occupation des hameaux de Chebaa et du village de Ghajar, Salam a insisté sur les nouvelles violations israéliennes maritimes, et précisé que la souveraineté des pays ne se limite pas aux frontières terrestres, mais aussi maritimes.
Il s’est référé à ce sujet à la deuxième clause de la convention des Nations Unies pour la loi des zones maritimes.
Selon lui, « la protection de cette souveraineté signifie la protection du droit du Liban à exploiter ses ressources naturelles dans ses eaux régionales et la zone économique proche ».
L'annonce récente de la découverte d'un important champ gazier dans les eaux régionales libanaises a multiplié les tensions avec l'entité sioniste, qui fait la course contre la montre pour entamer le forage et l'investissement des ressources pétrolières. Les autorités libanaises quant à elle, ont officiellement demandé aux Conseil de Sécurité de délimiter les frontières maritimes du pays. Le Liban n'a pas encore reçu de réponse positive à ce propos.
Dans un communiqué publié durant les débats consacrés au rapport du secrétaire général de l’ONU Ban Ki Moon sur l’application de la résolution 1701, Salam a rappelé qu’Israël continue de transgresser les résolutions internationales depuis 1978, et qu’il a violé l’espace libanais 7817 fois depuis la publication de la résolution 1701, ce qui équivaut à 11 violations par jour.
La dernière violation israélienne est celle liée à l'implantation du système d’espionnage dans une zone d’action des forces onusiennes. Ban Ki Moon avait exprimé son inquiétude face aux violations israéliennes aériennes, et appelé « Israël » à mettre fin immédiatement à ces agissements.
Tout en soulignant que l’entité sioniste poursuivait son occupation des hameaux de Chebaa et du village de Ghajar, Salam a insisté sur les nouvelles violations israéliennes maritimes, et précisé que la souveraineté des pays ne se limite pas aux frontières terrestres, mais aussi maritimes.
Il s’est référé à ce sujet à la deuxième clause de la convention des Nations Unies pour la loi des zones maritimes.
Selon lui, « la protection de cette souveraineté signifie la protection du droit du Liban à exploiter ses ressources naturelles dans ses eaux régionales et la zone économique proche ».
L'annonce récente de la découverte d'un important champ gazier dans les eaux régionales libanaises a multiplié les tensions avec l'entité sioniste, qui fait la course contre la montre pour entamer le forage et l'investissement des ressources pétrolières. Les autorités libanaises quant à elle, ont officiellement demandé aux Conseil de Sécurité de délimiter les frontières maritimes du pays. Le Liban n'a pas encore reçu de réponse positive à ce propos.