[ 21/02/2011 - 18:21 ] |
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Al-Qods occupée – CPI Des forces sionistes ont pris d'assaut, hier soir, le dimanche 20/2, le bureau et le domicile du député Maqdissin Ahmed Atoune, menacé d'expulsion, et les maisons d'un certain nombre de ses proches dans la ville occupée d'al-Qods, faisant des grands ravages dans les maisons et enlevé des membres de la familles du député. Le député Ahmed Atoune a dit que des policiers sionistes et des agents des services de renseignements de l'occupation ont envahi son bureau et sa maison, y lançant une campagne de recherche et faisant des grands dégâts pour la troisième fois successivement au cours de moins d'une semaine. Il a ajouté que les soldats sionistes ont volé ses biens personnels concernant son travail comme un député au conseil législatif palestinien. "Les forces sionistes ont enlevé mes proches qui sont: Mohamed, Mounair, Thaeir et moussa Atoune, en plus mon frère Jihad qui est emprisonné depuis plus de 5 jours dans des conditions très suspectes et les services de renseignements de l'occupation empêche l'avocat de le rendre visite", a-t-il ajouté. Le député Atoune a souligné à la détérioration de l'état de santé de son mère qui a été transféré à l'hôpital à cause des attaques et incursion répétées des forces occupantes dans le quartier où le député habite, chargeant l'occupation responsable des dommages aux maisons de ses proches ou toute risque contre la vie de 5 personnes enlevées. De son côté, la campagne internationale pour la libération des députés palestiniens enlevés dans les geôles sioniste a condamné fermement l'incursion de l'occupation sioniste dans la maison du député Maqdissin Ahmed Atoune, menacé d'expulsion sioniste, considérant que cette invasion est une preuve de l'échec de l'occupation sioniste à atteindre ses objectifs de saper la fermeté des députés d'al-Qods. Dans un communiqué de presse, la campagne a souligné, le lundi 21/2, que l'occupation confirme de nouveau ses intentions de vengeance contre les députés d'al-Qods, après leur lutte dans le siège du CICR au quartier de Cheikh Jarrah au centre de la ville sacrée, depuis plus de 6 mois, et de démasquer la décision d'expulsion, en faisant de la tente de protestation le lieu préférable des délégations qui visitent al-Qods occupée au soutien de la question légitime des députés maqdissins. |