[ 22/01/2011 - 19:09 ] |
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Gaza – CPI Le centre d'études pour affaires des détenus a déclaré que la décision de la cour suprême sioniste de refuser l'ouverture de la surveillance sur la prison secrète "1391" légifère les violations sionistes y perpétrées, appelant la communauté internationale à intervenir pour protéger les captifs palestiniens face à l'escalde des violations sionistes. Le directeur du centre, Ra'fat Hamdouna, a critiqué, dans un communiqué publié le samedi 22/1, la décision du tribunal sioniste de rejeter l'appel présenté par l'ancienne députée, Zahava Geilaaoun, et le centre israélien pour la défense des droits de l'indvidu pour révéler la prison secrète existante dans l'entité sioniste et soi-disant "Guantánamo sioniste" et connue sous le Numéro"1391". Il a ajouté que cette décision vient dans le cadre d'une série des pas d'escalade des violations qui possèdent des normes juridiques dans les prisons, afin d'inventer des pressions et punition contre les détenus arabes et palestiniens dans ces geôles sionistes. "La décision d'interdire aux avocats de rendre visite aux détenus pour 6 mois au lieu de 3 semaines est une mesure illégale et opposante aux conventions internationales alors qu'elle représente une violation claire au droit internationale et humanitaire, a-t-il poursuivi. Il a attiré l'attention que la justice sioniste a offert une couverture judiciaire aux enquêteurs du" Shin Bet" pour utiliser des moyens de tortures interdites internationalement contre les détenus palestiniens, sous prétexte de la lutte contre le terrorisme et la considération que le détenu est une bombe retardée. |