[ 22/01/2011 - 11:18 ] |
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Gaza - CPI Des institutions et des activités palestiniennes ont condamné le jeudi 20/01/201, la décision de la Cour suprême sioniste qui a refusé de fermer le centre d’enquête confidentiel numéro"1391", la considérant comme une déclaration de soutien officiel et clair à la politique de la torture interdite au niveau international. « C’est une législation sioniste claire pour l'exercice des plus difficiles types de violation du droit international et des conventions humanitaires, en particulier la 4ème Convention de «Genève » qui interdit le déni, l'isolement du prisonnier et la privation de ses droits fondamentaux », ont-elles protestés contre la décision sioniste. Dans des déclarations publiées par la Fondation «Mandela» pour le soin des affaires des prisonniers et détenus, et le «Comité des prisonniers palestiniens en Cisjordanie», ainsi «l’association des amis du détenu et prisonnier», «Comité de suivi des affaires des prisonniers à Nazareth », « la fondation du vertueux Youssef pour le soin des prisonniers à Umm al-Fahm », ces organisations ont fermement condamné l'initiative prise par la Cour a rejeté deux pétitions contre la poursuite des travaux du centre de l'interrogatoire des détenus le plus secret dans l'entité sioniste. Les institutions palestiniennes ont exprimé leur profonde préoccupation devant la décision de la Cour qui a donné sa pleine approbation des autorités concernées dans l'entité sioniste de continuer à fonctionner la prison connue sous le nom « le centre 1391 de détention" et qui existe dans une base secrète militaire et directement lié aux services des renseignements sionistes . Selon les institutions intéressées par les questions des prisonniers, les autorités de l’occupation refusent de reconnaître l'existence du Centre, qui n'est pas soumis à aucun contrôle ou d'inspection par toutes les organisations internationales, y compris le «Comité international de la Croix-Rouge". Le journal hébreu "Haaretz" a dévoilé la question de la détention secrète en 2003, à l’issue de la révélation de l'arrestation des Palestiniens par l’armée sioniste au cours de l’"Intifada" et "l'opération Bouclier défensif» en avril de 2002, qui a lancé une vaste agression en s’emparant de nouveau les régions sous le contrôle de l’Autorité palestinienne, en plus de l'arrestation des Libanais dans ce lieu secret, sans que personne ne sache de leur existence ou la présence du Centre lui-même. Le journal hébreu a cité de ceux qui ont présenté des pétitions, que le tribunal a accepté de déterminer la période de détention dans ce poste secret, et la livraison de certains renseignements concernant l'emplacement du centre pour les détenus eux-mêmes, et d'utiliser ce lieu que sur les ordres des hauts dirigeants. Les institutions palestiniennes concernées ont exigé de porter une plainte officielle contre l'entité sioniste à utiliser ces centres, et de soulever cette question dans tous les forums, à inviter les organisations de droits humains à mettre la pression sur le gouvernement israélien pour lui contraindre à fermer ces centres de la détention secrète, premièrement et avant d’accéder à leur fermeture, il faut d’ouvrir les portes devant les institutions pour visiter et révéler les noms des détenus. |