[ 19/12/2010 - 02:40 ] |
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Gaza – CPI Pour le mouvement de la résistance islamique Hamas, le volet militaire est une tendance stratégique. Il le trouve nécessaire pour faire face au projet sioniste, surtout en l’absence d’un projet arabo-islamique pour une libération totale. En son vingt-troisième anniversaire, le Hamas voit dans le travail militaire un bon moyen pour entraver la propagation sioniste dans le monde arabo-islamique. Perturber l’occupant Les brigades Ezziddine Al-Qassam, branche militaire du mouvement de la résistance islamique Hamas, travaillent uniquement en Palestine occupée. Elles se sont données le nom du moudjahid Ezziddine Al-Qassam, originaire de Syrie, qui avait été tué par les forces anglaises ; il était tombé en martyre dans les jungles de Yabod, près de la ville de Jénine, en 1935. Tout le monde se met d’accord sur le développement de l’aptitude militaire des brigades d’Al-Qassam. Elles veulent toujours se renforcer, et renforcer en conséquence ses frappes contre les occupants sionistes. Son progrès rapide a perturbé les calculs de ces occupants. Ils se trouvent obligé d’apporter une réflexion sérieuse sur ce "géant" militaire islamique, disent des analystes sionistes. Toute opération militaire menée par les combattants des brigades d’Al-Qassam fait couler beaucoup d’encre ; tous les journaux israéliens en débattent. Deux mille martyrs Depuis la naissance du Hamas, il y a vingt-trois ans, depuis l’annonce officielle de la naissance des brigades d’Al-Qassam, on compte plus deux mille martyrs donnés par les brigades, dans des opérations martyres ou par des opérations d’assassinats pratiquées par les forces israéliennes d'occupation. L’évolution Les brigades Ezziddine Al-Qassam ont débuté leur carrière avec de simples pierres et par de simples couteaux. Puis les balles et les bombes ont pris leur place. Ensuite, les opérations martyres ont été à l’honneur. Les brigades d’Al-Qassam ont durement travaillé pour fabriquer leurs armes. En dépit de tous les problèmes, elles sont arrivés à fabriquer des obus de mortier et des roquettes "Al-Qassam". Ces fabrications ont changé l’équilibre de terreur avec les occupants israéliens. Et récemment, elles ont inventé la guerre des tunnels et ont pu prendre en captivité des soldats. C’est le cas de Shalit, qui est toujours retenu par les brigades. Les roquettes d’Al-Qassam Au début de la fabrication des roquettes d’Al-Qassam, certains l’avaient prise avec légèreté, voir avec moquerie. Mais on a finalement constaté combien les brigades d’Al-Qassam avaient changé l’équilibre avec les occupants israéliens. Pour la première fois dans l’histoire du conflit arabe avec les Sionistes, ces occupants ont accepté les conditions de l’accalmie proposées par la résistance palestinienne. Les brigades Ezziddine Al-Qassam ont pu changer l’équilibre de terreur. Ils ont pu obliger les colons sionistes à quitter la bande de Gaza. Les roquettes d’Al-Qassam ont obligé les occupants israéliens à se retirer et à se protéger derrière des murs et des clôtures électroniques. Une réelle réussite Beaucoup d’intellectuels israéliens, arabes et palestiniens croient que les armes des brigades d’Al-Qassam ont concrètement inscrit de vraies réussites. Enfin, tout le monde sait combien les forces israéliennes d'occupation essaient de briser la force des brigades d’Al-Qassam, en assassinant leurs chefs. Cependant, les brigades se trouvent renforcées chaque fois qu’elles perdent un de leurs chefs ; son arme se trouve développée chaque fois qu’elles perdent un ingénieur. Nietzsche n’a-t-il pas dit : « Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort » ? |