Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a informé le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, que le Brésil reconnaissait l'Etat palestinien seulement dans ses frontières de 1967, et ce, dans une lettre publiée vendredi par le ministère brésilien des Affaires étrangères.
Selon la missive, publiée sur le site internet du ministère, cette reconnaissance répond à une demande personnelle formulée par Mahmoud Abbas à Lula le 24 novembre.
Selon la missive, publiée sur le site internet du ministère, cette reconnaissance répond à une demande personnelle formulée par Mahmoud Abbas à Lula le 24 novembre.
"Considérant que la demande présentée par son Excellence est juste et cohérente avec les principes défendus par le Brésil pour la question palestinienne, le Brésil, par le biais de cette lettre, reconnaît l'Etat palestinien dans les frontières de 1967", dit le courrier.
Lula soutient dans cette lettre "la légitime aspiration du peuple palestinien à un Etat uni, sûr, démocratique et économiquement viable, coexistant de façon pacifique avec Israël (l’autre partie de la Palestine occupée en 1948)".
Mahmoud Abbas s'est rendu à deux reprises au Brésil, en 2005 et en 2009, tandis que le chef de l'Etat brésilien "s'est trouvé dans les Territoires palestiniens occupés en mars 2010", rappelle le ministère brésilien.
"Israël" a dénoncé samedi la décision du président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva de reconnaître l'Etat palestinien dans les frontières de 1967 dans une lettre publiée vendredi.
"Israël regrette et exprime sa déception à la suite de la décision du président Luiz Inacio Lula da Silva prise un mois avant qu'il passe le pouvoir à la président élue Dilma Rousseff", a indiqué le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères dans un communiqué.
Selon la lettre publiée vendredi par le ministère brésilien des Affaires étrangères, la reconnaissance d'un Etat palestinien répond à une demande personnelle formulée par le président de l'Aurorité palestinienne Mahmoud Abbas à Lula le 24 novembre.
"Considérant que la demande présentée par son Excellence est juste et cohérente avec les principes défendus par le Brésil pour la question palestinienne, le Brésil, par le biais de cette lettre, reconnaît l'Etat palestinien dans les frontières de 1967", affirme la lettre.
En réaction, le ministère israélien des Affaires étrangères a estimé que la décision du président brésilien "constitue une violation des accords intérimaires signés entre Israël et l'Autorité palestinienne qui stipulent que le dossier de l'avenir de la Cisjordanie et de la bande de Gaza sera discuté et réglé lors de négociations".
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Lula soutient dans cette lettre "la légitime aspiration du peuple palestinien à un Etat uni, sûr, démocratique et économiquement viable, coexistant de façon pacifique avec Israël (l’autre partie de la Palestine occupée en 1948)".
Mahmoud Abbas s'est rendu à deux reprises au Brésil, en 2005 et en 2009, tandis que le chef de l'Etat brésilien "s'est trouvé dans les Territoires palestiniens occupés en mars 2010", rappelle le ministère brésilien.
"Israël" a dénoncé samedi la décision du président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva de reconnaître l'Etat palestinien dans les frontières de 1967 dans une lettre publiée vendredi.
"Israël regrette et exprime sa déception à la suite de la décision du président Luiz Inacio Lula da Silva prise un mois avant qu'il passe le pouvoir à la président élue Dilma Rousseff", a indiqué le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères dans un communiqué.
Selon la lettre publiée vendredi par le ministère brésilien des Affaires étrangères, la reconnaissance d'un Etat palestinien répond à une demande personnelle formulée par le président de l'Aurorité palestinienne Mahmoud Abbas à Lula le 24 novembre.
"Considérant que la demande présentée par son Excellence est juste et cohérente avec les principes défendus par le Brésil pour la question palestinienne, le Brésil, par le biais de cette lettre, reconnaît l'Etat palestinien dans les frontières de 1967", affirme la lettre.
En réaction, le ministère israélien des Affaires étrangères a estimé que la décision du président brésilien "constitue une violation des accords intérimaires signés entre Israël et l'Autorité palestinienne qui stipulent que le dossier de l'avenir de la Cisjordanie et de la bande de Gaza sera discuté et réglé lors de négociations".