Après la révélation par les médias de la rencontre secrète entre le ministre israélien du Commerce, et le ministre turc des Affaires étrangères, le quotidien turc Hurriyet, a rapporté, ce vendredi, qu'"Israël" a laissé entendre qu'il étudiait la possibilité de payer des compensations pour les familles des martyrs de la flottille, et de présenter des excuses à la Turquie.
Selon la même source, ce diplomate n'a pas écarté la possibilité d'une deuxième rencontre entre les deux parties, si "Israël" répond aux demandes turques.
Jeudi, le ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, a confirmé, devant le Parlement à Ankara que "la question des excuses et d'autres questions (...) ont été transmises directement (aux Israéliens). Nous sommes déterminés à prendre toutes mesures ou à appliquer toutes sanctions en fonction de l'attitude d'Israël", a-t-il précisé.
M. Davutoglu, a en outre affirmé, que son entrevue secrète mercredi à Bruxelles avec Benjamin Ben Eliezer avait eu lieu à l'initiative d'"Israël".
"Ben Eliezer est venu en tant qu'émissaire spécial du Premier ministre israélien (Benjamin) Netanyahu et a demandé cette rencontre, expliquant qu'il apportait un message de Netanyahu", a ajouté Davutoglu. Selon lui, "depuis (l'arraisonnement de la flottille), Israël a cherché le contact, par des moyens directs et indirects".
Un peu plus tôt un porte-parole du ministère turc des Affaires étrangères avait déclaré que "la demande de rencontre est venue d'Israël".
Selon son porte-parole, M. Davutoglu a indiqué à Ben Eliezer que la Turquie attendait des excuses d'"Israël", le paiement de compensations aux familles des martyrs, la création d'une commission d'enquête indépendante et internationale, et la levée du blocus de la bande de Gaza.
Après le raid meurtrier du 31 mai, qui a coûté la vie à 9 Turcs, Ankara s'en était pris violemment à son ancien allié, avec lequel elle a signé en 1996 des accords de coopération militaire. Elle a rappelé son ambassadeur à Tel Aviv, annulé trois manoeuvres militaires conjointes et fermé partiellement son espace aérien aux avions de l'armée israélienne.
Selon la même source, ce diplomate n'a pas écarté la possibilité d'une deuxième rencontre entre les deux parties, si "Israël" répond aux demandes turques.
Jeudi, le ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, a confirmé, devant le Parlement à Ankara que "la question des excuses et d'autres questions (...) ont été transmises directement (aux Israéliens). Nous sommes déterminés à prendre toutes mesures ou à appliquer toutes sanctions en fonction de l'attitude d'Israël", a-t-il précisé.
M. Davutoglu, a en outre affirmé, que son entrevue secrète mercredi à Bruxelles avec Benjamin Ben Eliezer avait eu lieu à l'initiative d'"Israël".
"Ben Eliezer est venu en tant qu'émissaire spécial du Premier ministre israélien (Benjamin) Netanyahu et a demandé cette rencontre, expliquant qu'il apportait un message de Netanyahu", a ajouté Davutoglu. Selon lui, "depuis (l'arraisonnement de la flottille), Israël a cherché le contact, par des moyens directs et indirects".
Un peu plus tôt un porte-parole du ministère turc des Affaires étrangères avait déclaré que "la demande de rencontre est venue d'Israël".
Selon son porte-parole, M. Davutoglu a indiqué à Ben Eliezer que la Turquie attendait des excuses d'"Israël", le paiement de compensations aux familles des martyrs, la création d'une commission d'enquête indépendante et internationale, et la levée du blocus de la bande de Gaza.
Après le raid meurtrier du 31 mai, qui a coûté la vie à 9 Turcs, Ankara s'en était pris violemment à son ancien allié, avec lequel elle a signé en 1996 des accords de coopération militaire. Elle a rappelé son ambassadeur à Tel Aviv, annulé trois manoeuvres militaires conjointes et fermé partiellement son espace aérien aux avions de l'armée israélienne.