[ 01/02/2011 - 13:43 ] |
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Ramallah – CPI Des représentants de l'ambassade de l'Afrique du Sud dans les territoires palestiniens a visité lundi 31/1, le bureau des députés islamiques dans la ville de Ramallah en Cisjordanie, où elle a rencontré une délégation des députés, et discuté de la situation palestinienne en général et la cause des députés d'al-Qods menacés d'expulsion en particulier. La délégation des députés islamiques était composée du député Ayman Daraghma, le député Abdul-Rahman Zaidan et le député exilé d'al-Qods occupée, Mohamed Abou Tair, alors que l'ambassade sud-africaine était représentée par Ahmed Edgar, premier secrétaire de l'ambassade, et Michkel Fan Nikirk, conseiller de l'ambassade dans les territoires palestiniens. La délégation en visite a exprimé sa solidarité au nom du gouvernement en Afrique du Sud avec les députés Maqdissins et l'ancien ministre des affaires de la ville sacrée menacés d'expulsion de leur ville, assurant qu'elle a transmis l'affaire des députés d'al-Qods au gouvernement de son pays qui discute actuellement de la cause avec le parlement. De sa part, le député Maqdissin expulsé, Mohamed Abou Tair, a félicité la position de l'ambassade et du gouvernement de l'Afrique du Sud, disant : "Nous apprécions cette position qui reflète les valeurs de la liberté", affirmant la difficulté de la question des députés Maqdissins et que "l'expulsion est égale à l'assassinat pour les habitants d'al-Qods et ses députés". "La politique de l'occupation sioniste à al-Qods est continuelle depuis plus de 40 ans et varie et dépend des circonstances et de la situation, en ciblant l'existence palestinienne dans la ville sacrée, et la même politique a été suivie à Jaffa et à Acre pour exiler leurs habitants palestiniens", a précisé le député Abou Tair. Dans le même contexte, le député Ayman Daraghma a demandé que le gouvernement sud-Africain soumette la question à l'ONU et au Conseil international de sécurité. Cela a été confirmé par Mackhel Fan qui a déclaré : "Nous recueillons les informations pour les transmettre au ministère des Affaires étrangères et cherchons des moyens d'aider par des voies diplomatiques". |