Shoah Business, faire payer la France, jusqu’à quand devrons nous payer, raket à la mémoire…les mots agacés exprimés par de plus en plus de français, via internet, ne manquent pas pour exprimer leur colère face au harcèlement que le lobby de la Shoah exerce sur les Français.
Ils interviennent en réaction à deux nouvelles informations :
La première est liée au parc d’attraction mémoriel d’Auschwitz, inauguré en France en 2005, sous le titre « Que le témoignage de la Mémoire perdure », pour commémorer le souvenir de 76.000 juifs français et européens déportés de France vers le camp d’Auschwitz.
Il aurait besoin davantage d’argent, et des pressions sont exercées sur le gouvernement français pour les fournir.
Ils interviennent en réaction à deux nouvelles informations :
La première est liée au parc d’attraction mémoriel d’Auschwitz, inauguré en France en 2005, sous le titre « Que le témoignage de la Mémoire perdure », pour commémorer le souvenir de 76.000 juifs français et européens déportés de France vers le camp d’Auschwitz.
Il aurait besoin davantage d’argent, et des pressions sont exercées sur le gouvernement français pour les fournir.
Elles proviennent de la part du seul membre français de la Fondation-Auschwitz-Birkenau, « le chasseur de nazis », Serge Klarsfeld.
« Je sais que nous sommes en période de crise, je connais l’état du déficit des finances publiques, mais il ne faudrait pas que la France se montre indigne par rapport à l’Allemagne (qui a débloqué 60 millions d’euros, soit la moitié de la facture nécessaire à l’entretien annuel) », a-t-il déclaré.
Son fils, Arno, conseiller de François Fillon, a relayé la demande qui est actuellement en cours d’arbitrage, sachant que Paris prône une solution européenne et non pays par pays.
La deuxième affaire est liée à la Société nationale des chemins de fer, (SNCF), accusée d’avoir contribué à la déportation de juifs vers le camp d’Auschwitz.
Malgré son refus d’adosser cette responsabilité, au motif qu’elle était sous la contrainte, dans les zones occupées, ou, elle agissait sous les ordres du gouvernement Vichy en zone libre, elle a finalement été amenée à se plier.
« Je sais que nous sommes en période de crise, je connais l’état du déficit des finances publiques, mais il ne faudrait pas que la France se montre indigne par rapport à l’Allemagne (qui a débloqué 60 millions d’euros, soit la moitié de la facture nécessaire à l’entretien annuel) », a-t-il déclaré.
Son fils, Arno, conseiller de François Fillon, a relayé la demande qui est actuellement en cours d’arbitrage, sachant que Paris prône une solution européenne et non pays par pays.
La deuxième affaire est liée à la Société nationale des chemins de fer, (SNCF), accusée d’avoir contribué à la déportation de juifs vers le camp d’Auschwitz.
Malgré son refus d’adosser cette responsabilité, au motif qu’elle était sous la contrainte, dans les zones occupées, ou, elle agissait sous les ordres du gouvernement Vichy en zone libre, elle a finalement été amenée à se plier.
Elle vient dernièrement de signer une convention de partenariat avec le Mémorial de la Shoah, en fonction de laquelle elle devrait contribuer pour les quatre années à suivre dans son développement de ses activités pédagogiques. Alors que le Mémorial s’engage à apporter son expertise et son soutien technique à la SNCF pour conduire de nouvelles recherches historiques sur les actions de la SNCF pendant la Seconde Guerre mondiale…
Le mois de novembre dernier, elle avait accepté pour la première fois d’exprimer ses regrets. Ces derniers semblaient être la condition préalable pour gagner deux contrats pour des lignes ferroviaires aux Etats-Unis qui pourraient lui rapporter des dizaines de milliards de dollars. Les élus américains avaient voté une loi sur mesure contre la candidature de la société française, obligeant tous les candidats à un contrat à faire la lumière sur leur éventuel rôle dans le transport de déportés de 1942 à 1944.
Pour la SNCF, le repentir ne constitue pas le début du harcèlement mais son début.
Les aboutissements prévus sont surtout les revendications d’indemnités pour les 76 milles victimes, qui s’élèveraient à des milliards de dollars.
Tout comme pour l’Allemagne qui n’a pas cessé de payer depuis plus de 60 années, puis la Suisse, il semble que le le tour de la France ait commencé.
Certains internautes ne manquent pas de s'interroger pertinemment: pourquoi ne pas indemniser les autres
peuples lésés??Pour la SNCF, le repentir ne constitue pas le début du harcèlement mais son début.
Les aboutissements prévus sont surtout les revendications d’indemnités pour les 76 milles victimes, qui s’élèveraient à des milliards de dollars.
Tout comme pour l’Allemagne qui n’a pas cessé de payer depuis plus de 60 années, puis la Suisse, il semble que le le tour de la France ait commencé.
Certains internautes ne manquent pas de s'interroger pertinemment: pourquoi ne pas indemniser les autres
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