L'opération d'exportation des premières cargaisons de fraises et des fleurs à partir de la bande Ghaza à destination de la Hollande, en prélude à leur distribution sur plusieurs marchés européens a débuté hier, a annoncé une source palestinienne.
Deux camions chargés de 20 mille fleurs et près de cinq tonnes de fraises ont quitté le terminal Karam abou Salem pour être acheminés vers la Hollande, en vertu d'un récent accord israélo-palestinien, a précisé le président de l'association des fleurs et des fraises de la bande de Ghaza, Mahmoud Khalil.
L'accord a été signé mercredi dernier lors d'une réunion entre des responsables chargés du secteur des produits exportables palestiniens dans les villes de Ghaza et des responsables israéliens en présence d'un responsable hollandais.
L'accord en question porte sur le début de l'exportation des premières cargaisons de fraises de Ghaza, ce dimanche, à hauteur de dix cargaisons par jour, avait alors expliqué Youcef Chaath responsable du projet de développement des produits agricoles destinés à l'exportation à partir de Ghaza.
Il avait également fait savoir qu'en vertu de cet accord, le nombre des cargaisons sera augmenté graduellement et la possibilité d'exporter également les légumes à partir des territoires palestiniens occupés avait été aussi examinée lors de cette rencontre.
Le responsable palestinien avait insisté en outre sur la nécessité d'ouverture des marchés de Cisjordanie devant les produits exportables de Ghaza.
Il a prévu que la saison actuelle des exportations réalise des gains importants pour les agriculteurs palestiniens, surtout que les produits agricoles de Ghaza mûrissent précocement, et arrivent donc aux marchés européens avant de nombreux produits d'autres pays producteurs des mêmes produits.
Israël s'était déjà engagé à assouplir son blocus à la suite d'intenses pressions internationales, après la mort de neuf Turcs dans l'assaut de sa marine le 31 mai contre une flottille humanitaire qui tentait d'atteindre l'enclave palestinienne.
Mais, l'occupant israélien a maintenu l'interdiction des exportations et les restrictions à la circulation des personnes à l'entrée et à la sortie de Ghaza.
Deux camions chargés de 20 mille fleurs et près de cinq tonnes de fraises ont quitté le terminal Karam abou Salem pour être acheminés vers la Hollande, en vertu d'un récent accord israélo-palestinien, a précisé le président de l'association des fleurs et des fraises de la bande de Ghaza, Mahmoud Khalil.
L'accord a été signé mercredi dernier lors d'une réunion entre des responsables chargés du secteur des produits exportables palestiniens dans les villes de Ghaza et des responsables israéliens en présence d'un responsable hollandais.
L'accord en question porte sur le début de l'exportation des premières cargaisons de fraises de Ghaza, ce dimanche, à hauteur de dix cargaisons par jour, avait alors expliqué Youcef Chaath responsable du projet de développement des produits agricoles destinés à l'exportation à partir de Ghaza.
Il avait également fait savoir qu'en vertu de cet accord, le nombre des cargaisons sera augmenté graduellement et la possibilité d'exporter également les légumes à partir des territoires palestiniens occupés avait été aussi examinée lors de cette rencontre.
Le responsable palestinien avait insisté en outre sur la nécessité d'ouverture des marchés de Cisjordanie devant les produits exportables de Ghaza.
Il a prévu que la saison actuelle des exportations réalise des gains importants pour les agriculteurs palestiniens, surtout que les produits agricoles de Ghaza mûrissent précocement, et arrivent donc aux marchés européens avant de nombreux produits d'autres pays producteurs des mêmes produits.
Israël s'était déjà engagé à assouplir son blocus à la suite d'intenses pressions internationales, après la mort de neuf Turcs dans l'assaut de sa marine le 31 mai contre une flottille humanitaire qui tentait d'atteindre l'enclave palestinienne.
Mais, l'occupant israélien a maintenu l'interdiction des exportations et les restrictions à la circulation des personnes à l'entrée et à la sortie de Ghaza.
----------------------
Le Président allemand appelle à la reprise des négociations palestino- israéliennes
Le président allemand Christian Wolf, en visite hier dans les territoires occupés, a appelé à la reprise des négociations directes palestino-israéliennes, interrompues en raison de la poursuite de la colonisation israélienne.
Dans une déclaration rapportée par des médias, M. Wolf a indiqué qu'il ne voyait pas une autre alternative que la solution basée sur deux Etats, un Etat palestinien viable, vivant côte à côte avec Israël.
Il a souligné à ce propos qu'il ne pouvait y avoir de solution sans l'engagement des deux parties, palestinienne et israélienne, envers la paix.
Au cours de sa visite dans les territoires occupés, Christian Wolf devra notamment rencontrer le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, avec lequel il doit évoquer le processus de paix, ainsi que des responsables israéliens à El Qods occupée.
Parrainées par les Etats-Unis, les négociations de paix israélo-palestiniennes, ont été relancées le 2 septembre dernier, mais bloquées actuellement en raison notamment de la poursuite de la colonisation israélienne dans les territoires occupés.
Le président allemand Christian Wolf, en visite hier dans les territoires occupés, a appelé à la reprise des négociations directes palestino-israéliennes, interrompues en raison de la poursuite de la colonisation israélienne.
Dans une déclaration rapportée par des médias, M. Wolf a indiqué qu'il ne voyait pas une autre alternative que la solution basée sur deux Etats, un Etat palestinien viable, vivant côte à côte avec Israël.
Il a souligné à ce propos qu'il ne pouvait y avoir de solution sans l'engagement des deux parties, palestinienne et israélienne, envers la paix.
Au cours de sa visite dans les territoires occupés, Christian Wolf devra notamment rencontrer le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, avec lequel il doit évoquer le processus de paix, ainsi que des responsables israéliens à El Qods occupée.
Parrainées par les Etats-Unis, les négociations de paix israélo-palestiniennes, ont été relancées le 2 septembre dernier, mais bloquées actuellement en raison notamment de la poursuite de la colonisation israélienne dans les territoires occupés.
----------------------
Palestine-Espagne-GB
Entretiens sur le processus de paix au siège de l'Autorité palestinienne à Ramallah
Le processus de paix a été dimanche au centre d'entretiens entre le président palestinien Mahmoud Abbas et les Consuls généraux espagnol et britannique à El-Qods occupée, rapportent des médias.
Le président Abbas a reçu au siège de l'Autorité palestinienne à Ramallah, les consuls généraux espagnol à El-Qods occupée, M. Alfonso Dortilas, et britannique Vensnet Fine, avec qui il s'est entretenu du processus de paix dans la région, ont indiqué les mêmes sources.
Il a informé les consuls espagnol et britannique de la situation générale au Proche Orient marquée par le blocage des négociations de paix israélo-palestiniennes en raison de la persistance d'Israël dans sa politique de colonisation dans les territoires palestiniens, ont ajouté les mêmes sources.
Les pourparlers de paix israélo-palestiniens ont été lancés le 2 septembre dernier à Washington mais bloqués par la poursuite de la colonisation juive sur les terres palestiniennes.
Depuis l'arrêt des négociations, l'occupant israélien a approuvé plusieurs projets de colonisation portant sur la construction de plus de 3000 nouveaux logements sur les territoires palestiniens.
Ces nouveaux plans israéliens ont été vivement dénoncés par plusieurs pays et organisations mondiales.
Lien
Entretiens sur le processus de paix au siège de l'Autorité palestinienne à Ramallah
Le processus de paix a été dimanche au centre d'entretiens entre le président palestinien Mahmoud Abbas et les Consuls généraux espagnol et britannique à El-Qods occupée, rapportent des médias.
Le président Abbas a reçu au siège de l'Autorité palestinienne à Ramallah, les consuls généraux espagnol à El-Qods occupée, M. Alfonso Dortilas, et britannique Vensnet Fine, avec qui il s'est entretenu du processus de paix dans la région, ont indiqué les mêmes sources.
Il a informé les consuls espagnol et britannique de la situation générale au Proche Orient marquée par le blocage des négociations de paix israélo-palestiniennes en raison de la persistance d'Israël dans sa politique de colonisation dans les territoires palestiniens, ont ajouté les mêmes sources.
Les pourparlers de paix israélo-palestiniens ont été lancés le 2 septembre dernier à Washington mais bloqués par la poursuite de la colonisation juive sur les terres palestiniennes.
Depuis l'arrêt des négociations, l'occupant israélien a approuvé plusieurs projets de colonisation portant sur la construction de plus de 3000 nouveaux logements sur les territoires palestiniens.
Ces nouveaux plans israéliens ont été vivement dénoncés par plusieurs pays et organisations mondiales.