12 Sept 2010
Dans une conférence de presse rapportée aujourd'hui par la chaîne satellitaire /al-Manar/, le général al-Sayyed a trouvé que l'affaire des faux témoins constitue un crime incontestable et une question importante à reconsidérer pour mettre de la lumière sur les événements tragiques de la phase écoulée, notamment ceux concernant les assassinats qui avaient eu lieu après l'assassinat d'al-Hariri.
M. al-Sayyed a ajouté que la falsification des vérités et l'accusation politique de la Syrie ont permis au vrai assassin de poursuivre ses crimes en ciblant toutes les personnalités libanaises, assassinées après la mort de Hariri.
"Pour avoir confiance au tribunal international, il faut ouvrir le dossier des quatre dernières années et démasquer le complot de la falsification et des faux témoins", a insisté le général al-Sayyed.
Le chef du parti démocratique libanais, Talal Arslan, a affirmé que le Liban vit actuellement dans un état de mutation positive en direction de l'ouverture du dossier des faux témoins dans l'affaire de l'assassinant de l'ancien 1er ministre libanais Rafic Hariri pour connaitre les vrais commanditaires qui ont voulu dévier sciemment le cours de l'enquête et des investigations.
Pour Arslan, l'affaire des faux témoins n'est pas seulement une affaire de simple criminalité, mais relève des grands complots visant à faire disparaitre de la carte le Liban par le chaos constructif qui est partie intégrante de la stratégie israélo-américaine pour dominer le Liban et la région du Moyen-Orient.
Pour sa part, cheikh Hassan Azzedine, responsable des relations arabes au Hezbollah libanais, a indiqué que la bonne relation entre son pays et la Syrie a renforcé la force des deux pays, soulignant que présenter les faux témoins devant la justice est un prélude à la vérité, tout en appelant à les traduire vite devant la justice pour rendre compte de leur complicité.
De son côté, cheikh Hassan al-Masri, chef du conseil politique du mouvement Amal, a précisé qu'aucune personne ne peut défier le triangle: Armée, peuple, résistance au Liban appelant à immuniser cette force des complots qui se trament dans les coulisses.
N. S. & T. Slimani
M. al-Sayyed a ajouté que la falsification des vérités et l'accusation politique de la Syrie ont permis au vrai assassin de poursuivre ses crimes en ciblant toutes les personnalités libanaises, assassinées après la mort de Hariri.
"Pour avoir confiance au tribunal international, il faut ouvrir le dossier des quatre dernières années et démasquer le complot de la falsification et des faux témoins", a insisté le général al-Sayyed.
Le chef du parti démocratique libanais, Talal Arslan, a affirmé que le Liban vit actuellement dans un état de mutation positive en direction de l'ouverture du dossier des faux témoins dans l'affaire de l'assassinant de l'ancien 1er ministre libanais Rafic Hariri pour connaitre les vrais commanditaires qui ont voulu dévier sciemment le cours de l'enquête et des investigations.
Pour Arslan, l'affaire des faux témoins n'est pas seulement une affaire de simple criminalité, mais relève des grands complots visant à faire disparaitre de la carte le Liban par le chaos constructif qui est partie intégrante de la stratégie israélo-américaine pour dominer le Liban et la région du Moyen-Orient.
Pour sa part, cheikh Hassan Azzedine, responsable des relations arabes au Hezbollah libanais, a indiqué que la bonne relation entre son pays et la Syrie a renforcé la force des deux pays, soulignant que présenter les faux témoins devant la justice est un prélude à la vérité, tout en appelant à les traduire vite devant la justice pour rendre compte de leur complicité.
De son côté, cheikh Hassan al-Masri, chef du conseil politique du mouvement Amal, a précisé qu'aucune personne ne peut défier le triangle: Armée, peuple, résistance au Liban appelant à immuniser cette force des complots qui se trament dans les coulisses.
N. S. & T. Slimani
Beyrouth / L'ex directeur général de la sécurité libanaise, le général Jamil al Sayyed a appelé à faire passer en justice les faux témoins dans l'affaire de l'assassinat de l'ancien 1er ministre libanais, Rafic al Hariri.