Selon le journal égyptien A-Dar, l’entité sionsite a demandé au Caire d'empêcher d'éventuels navires iraniens d'atteindre la bande de Gaza via le canal de Suez. Les autorités égyptiennes auraient néanmoins refusé, parce que la requête israélienne "contredit la loi".
Plus encore, le gouvernement israélien aurait demandé au Caire de bloquer toute flottille iranienne parce que "Téhéran aide le Hamas à œuvrer contre l'Egypte".
Pourtant, une telle initiative serait impossible, poursuit le quotidien. Le droit international ne permet pas aux Egyptiens d'intervenir dans le canal de Suez. Les Egyptiens ne peuvent pas, par ailleurs, s'opposer aux intentions de pays arabes, du monde musulman et de la communauté internationale visant à apporter une aide humanitaire aux habitants de la bande côtière, ajoutent les journalistes.
Selon certaines sources au sein du Département de défense des intérêts iraniens au Caire, l'Egypte a déjà approuvé les demandes de centaines d'Iraniens qui souhaitent participer à la future expédition maritime.
Une dizaine de nouveaux convois humanitaires destinés à forcer le blocus de Gaza sont prévus jusqu’en octobre. L'entité sioniste se prépare à les en empêcher. Depuis quelques jours, les commandos de la Shayetet 13 (une unité spéciale d’intervention de la marine israélienne) et l’unité 669 spécialisée dans les secours en mer participent à une série d’exercices intensifs organisés au large des côtés de l’entité sionsite. En fait, ils se préparent à aborder la dizaine de nouvelles « flottilles de la liberté » qui promettent de forcer le blocus de la bande de Gaza d’ici à la fin du mois d’octobre.
Pour l’heure, l’état-major de l’armée israélienne et l’Aman (les renseignements militaires) focalisent leur attention sur un convoi composé du Maryam et du Naji-el-Ali, deux navires affrétés par l’homme d’affaires palestino-libanais Yasser Kashak et qui appareilleront dans le courant du week-end.
Selon le cabinet du premier ministre Benyamin Netanyahou, ce convoi serait « un paravent du Hezbollah » . Mais Yasser Kashak jure que ce n’est pas le cas. Selon lui, le Maryam transportera des tonnes de médicaments alors que des parlementaires libanais, une cinquantaine de journalistes européens, des femmes libanaises ainsi qu’une délégation de Reporters sans frontières embarqueront à bord du Naji-el-Ali.
Pour les responsables israéliens, les flottilles libanaise et iranienne constituent les deux dangers les plus immédiats. Parce qu’ils considèrent que des miliciens du Hezbollah, voire des Gardiens de la révolution iraniens pourraient se trouver à bord.
D’autres flottilles sont également planifiées courant juillet. L’une d’entre elle est organisée par une série d’organisation pro-palestiniennes, une autre par l’organisation progressiste juive allemande Voix pour une paix juste, et une troisième par l’organisation islamiste turque IHH organisatrice de la première « Flottille de la liberté » fin mai . Enfin, un convoi est également planifié en Grande-Bretagne et au moins trois autres dans les pays arabes voisins de l'ntité sioniste.
Pour en contrer l’impact, l’entité sioniste n’entend pas seulement user de la force militaire : il lance aussi des actions diplomatiques visant notamment à convaincre les Etats-Unis et les pays de l’Union européenne d’interdire à leurs ressortissants de participer à ces convois.
Plus encore, le gouvernement israélien aurait demandé au Caire de bloquer toute flottille iranienne parce que "Téhéran aide le Hamas à œuvrer contre l'Egypte".
Pourtant, une telle initiative serait impossible, poursuit le quotidien. Le droit international ne permet pas aux Egyptiens d'intervenir dans le canal de Suez. Les Egyptiens ne peuvent pas, par ailleurs, s'opposer aux intentions de pays arabes, du monde musulman et de la communauté internationale visant à apporter une aide humanitaire aux habitants de la bande côtière, ajoutent les journalistes.
Selon certaines sources au sein du Département de défense des intérêts iraniens au Caire, l'Egypte a déjà approuvé les demandes de centaines d'Iraniens qui souhaitent participer à la future expédition maritime.
Une dizaine de nouveaux convois humanitaires destinés à forcer le blocus de Gaza sont prévus jusqu’en octobre. L'entité sioniste se prépare à les en empêcher. Depuis quelques jours, les commandos de la Shayetet 13 (une unité spéciale d’intervention de la marine israélienne) et l’unité 669 spécialisée dans les secours en mer participent à une série d’exercices intensifs organisés au large des côtés de l’entité sionsite. En fait, ils se préparent à aborder la dizaine de nouvelles « flottilles de la liberté » qui promettent de forcer le blocus de la bande de Gaza d’ici à la fin du mois d’octobre.
Pour l’heure, l’état-major de l’armée israélienne et l’Aman (les renseignements militaires) focalisent leur attention sur un convoi composé du Maryam et du Naji-el-Ali, deux navires affrétés par l’homme d’affaires palestino-libanais Yasser Kashak et qui appareilleront dans le courant du week-end.
Selon le cabinet du premier ministre Benyamin Netanyahou, ce convoi serait « un paravent du Hezbollah » . Mais Yasser Kashak jure que ce n’est pas le cas. Selon lui, le Maryam transportera des tonnes de médicaments alors que des parlementaires libanais, une cinquantaine de journalistes européens, des femmes libanaises ainsi qu’une délégation de Reporters sans frontières embarqueront à bord du Naji-el-Ali.
Pour les responsables israéliens, les flottilles libanaise et iranienne constituent les deux dangers les plus immédiats. Parce qu’ils considèrent que des miliciens du Hezbollah, voire des Gardiens de la révolution iraniens pourraient se trouver à bord.
D’autres flottilles sont également planifiées courant juillet. L’une d’entre elle est organisée par une série d’organisation pro-palestiniennes, une autre par l’organisation progressiste juive allemande Voix pour une paix juste, et une troisième par l’organisation islamiste turque IHH organisatrice de la première « Flottille de la liberté » fin mai . Enfin, un convoi est également planifié en Grande-Bretagne et au moins trois autres dans les pays arabes voisins de l'ntité sioniste.
Pour en contrer l’impact, l’entité sioniste n’entend pas seulement user de la force militaire : il lance aussi des actions diplomatiques visant notamment à convaincre les Etats-Unis et les pays de l’Union européenne d’interdire à leurs ressortissants de participer à ces convois.