Palestine - 24-10-2009 |
"Toute procédure inconstitutionnelle, sans la réalisation du consensus national palestinien est forcément illégale et un complot destinant la liquidation de la légitimité palestinienne et n'est qu'un renforcement aux agendas et objectifs israélo-américains", ont contesté aujourd'hui, le samedi 24/10, plusieurs dirigeants palestiniens appartenant au Hamas, le djihad islamique, le front populaire, le front de la libération de la Palestine.
Le représentant du Hamas au Liban Oussama Hamdan a qualifié la mesure du président sortant Mahmoud Abbas d'illégitimité, en jugeant ses allocations comme un discours tendu duquel Abbas tient à liquider la légitimité de la question palestinienne en célébrant sa soumission illimitée aux pressions et agendas israélo-américains.
"Quelle engagement provoque Abbas sans la réalisation de la réconciliation palestinienne, c'est un coup très flagrant aux efforts égyptiens et palestiniens déployés pour le consensus national", a protesté Hamdan contre le soi-disant décret d'Abbas pour la campagne électorale, présidentielle et législative le 24/ janvier prochain.
Pour leur part, le porte-parole du Hamas, Fawzi Barhoum, son leader Ismail Redouan, le dirigeant du djihad islamique, Khaled Al Batch, le membre au bureau politique du front populaire, Maher Al Tahar et le professeur des sciences politique à l'université d'Al Najjah, le vice-président du bloc changement et réforme au conseil législatif palestinien Ismail Al Achkar, ont condamné d'une façon plus ferme l'appel d'Abbas au déroulement de ces élections en manque du consensus national palestinien, qualifiant cette mesure illégale, inconstitutionnelle, totalement refusable, complètement condamnable, irresponsable et inacceptable.
"Le président sortant Mahmoud Abbas n'est plus constitutionnellement apte à émettre de tels décret ou d'appeler à une telle procédure, en ignorant la légitimité du peuple palestinien qu'exige plus que jamais la ratification de la réconciliation interne", ont protesté fortement les dirigeants palestiniens contre l'appel illégitime d'Abbas en le qualifiant un renfort gratuit aux agendas de l'occupation israélienne et ses alliés.
Le représentant du Hamas au Liban Oussama Hamdan a qualifié la mesure du président sortant Mahmoud Abbas d'illégitimité, en jugeant ses allocations comme un discours tendu duquel Abbas tient à liquider la légitimité de la question palestinienne en célébrant sa soumission illimitée aux pressions et agendas israélo-américains.
"Quelle engagement provoque Abbas sans la réalisation de la réconciliation palestinienne, c'est un coup très flagrant aux efforts égyptiens et palestiniens déployés pour le consensus national", a protesté Hamdan contre le soi-disant décret d'Abbas pour la campagne électorale, présidentielle et législative le 24/ janvier prochain.
Pour leur part, le porte-parole du Hamas, Fawzi Barhoum, son leader Ismail Redouan, le dirigeant du djihad islamique, Khaled Al Batch, le membre au bureau politique du front populaire, Maher Al Tahar et le professeur des sciences politique à l'université d'Al Najjah, le vice-président du bloc changement et réforme au conseil législatif palestinien Ismail Al Achkar, ont condamné d'une façon plus ferme l'appel d'Abbas au déroulement de ces élections en manque du consensus national palestinien, qualifiant cette mesure illégale, inconstitutionnelle, totalement refusable, complètement condamnable, irresponsable et inacceptable.
"Le président sortant Mahmoud Abbas n'est plus constitutionnellement apte à émettre de tels décret ou d'appeler à une telle procédure, en ignorant la légitimité du peuple palestinien qu'exige plus que jamais la ratification de la réconciliation interne", ont protesté fortement les dirigeants palestiniens contre l'appel illégitime d'Abbas en le qualifiant un renfort gratuit aux agendas de l'occupation israélienne et ses alliés.