[
04/03/2014 - 10:51 ]
Gaza-CPI
Le conseiller politique du président
du gouvernement palestinien à Gaza Yousef Rizqa a précisé que le
traitement égyptien avec la question du passage de Rafah n’est pas
encore claire, ce qui aggrave la situation humanitaire dans la bande de
Gaza.
Rizqa a déclaré dans un communiqué de presse écrit, ce lundi 3 mars: «l'ouverture du passage pour trois jours chaque demi mois signifie que les Palestiniens ont le droit de se déplacer librement avec le système en détail qu’on refuse.»Il a appelé les autorités égyptiennes à ouvrir le passage de Rafah définitivement et complètement, en soulignant que les contacts avec les services de renseignements égyptiens et l'ambassadeur égyptien, à Ramallah, est toujours en cours à cet égard.
Rizqa a déclaré dans un communiqué de presse écrit, ce lundi 3 mars: «l'ouverture du passage pour trois jours chaque demi mois signifie que les Palestiniens ont le droit de se déplacer librement avec le système en détail qu’on refuse.»Il a appelé les autorités égyptiennes à ouvrir le passage de Rafah définitivement et complètement, en soulignant que les contacts avec les services de renseignements égyptiens et l'ambassadeur égyptien, à Ramallah, est toujours en cours à cet égard.
"Les contacts se poursuivent mais la décision politique et
sécuritaire qui détermine l’ouverture du passage de Rafah ouverture du
passage de la sécurité semble très difficile et les objectifs sont
invisibles et personne à Gaza savait la vraie raison derrière cela", a-t-il ainsi ajouté.
Il a dénoncé aussi les arguments de sécurité exprimés par le côté
égyptien, en particulier ceux associés à Sinaï, en confirmant que ce
n'est pas la vraie raison derrière la fermeture du passage et les
raisons ne sont pas encore claires et sont inconnus.
Rezka a souligné que le citoyen palestinien selon les droits
internationaux a le droit de se déplacer librement, comme il est
interdit d’assiéger tout un peuple et l'empêcher de ce déplacer.
Les
autorités égyptiennes continuent la fermeture du passage terrestre de
Rafah dans le sud de la bande de Gaza, pendant 25 jours d'affilée contre
les voyages des cas humanitaires et les patients.