Un groupe de 50 jeunes Israéliens a publié une lettre ouverte au Premier
ministre Benjamin Netanyahu, expliquant qu'ils refusaient d'effectuer
leur service militaire pour ne pas cautionner l'occupation des
territoires palestiniens.
Le service militaire, de trois ans pour les hommes et de deux ans pour les femmes, est obligatoire en Israël, et s'y soustraire est puni par de la prison ferme.
"Notre opposition à l'occupation des territoires palestiniens par l'armée israélienne constitue la principale raison de notre refus de servir", indique la lettre, publiée samedi sur la page Facebook de l'organisation pacifiste d'extrême-gauche "Yesh Gvul" (il y a une limite).
Les signataires dénoncent "les violations des droits de l'Homme" en Cisjordanie occupée, les "exécutions, la construction de colonies, les détentions administratives (de Palestiniens), la torture, les punitions collectives et une répartition injuste de l'eau et de l'électricité".
Le service militaire, de trois ans pour les hommes et de deux ans pour les femmes, est obligatoire en Israël, et s'y soustraire est puni par de la prison ferme.
"Notre opposition à l'occupation des territoires palestiniens par l'armée israélienne constitue la principale raison de notre refus de servir", indique la lettre, publiée samedi sur la page Facebook de l'organisation pacifiste d'extrême-gauche "Yesh Gvul" (il y a une limite).
Les signataires dénoncent "les violations des droits de l'Homme" en Cisjordanie occupée, les "exécutions, la construction de colonies, les détentions administratives (de Palestiniens), la torture, les punitions collectives et une répartition injuste de l'eau et de l'électricité".
"Tout service militaire perpétue la situation actuelle, et de ce fait
nous ne pouvons prendre part à un système qui se livre à de tels actes",
ajoutent les signataires.
Le Parlement doit discuter, à partir de mardi, d'un projet de loi prévoyant de mettre fin à l'autorisation pour des dizaines de milliers de religieux ultra-orthodoxes d'être exemptés du service militaire s'ils étudient à plein temps dans une yeshiva (école talmudique).
Plus de 300.000 juifs ultra-orthodoxes ont manifesté contre ce projet de loi début mars, le qualifiant de "persécution religieuse".
Le Parlement doit discuter, à partir de mardi, d'un projet de loi prévoyant de mettre fin à l'autorisation pour des dizaines de milliers de religieux ultra-orthodoxes d'être exemptés du service militaire s'ils étudient à plein temps dans une yeshiva (école talmudique).
Plus de 300.000 juifs ultra-orthodoxes ont manifesté contre ce projet de loi début mars, le qualifiant de "persécution religieuse".