[ 05/11/2011 - 00:11 ] |
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Un rapport publié par deux organisations sioniste, jeudi a
révélé que des médecins sionistes ont participe au mauvais traitement
infligé aux détenus palestiniens, en violation de leurs devoirs
médicaux.
Le rapport a mis l’accent sur les agents
du secteur médical qui ont constaté, participé ou étaient en contact
avec des détenus, en cours d’interrogatoire de la part de l’appareil des
renseignements internes sionistes (le shin Bit)
le rapport a indiqué que la violence physique ou psychique était souvent exercée au cours de ces interrogatoires.
L’étude
comportant 64 pages, intitulée « falsification des preuves et
l’abandon de la victime » a été mise au point à la fois par la
« Commission générale de lutte contre la torture au sein de l’entité et
l’annexe sioniste de l’association « Médecins, pour les droits de
l’Homme. »
Les conclusions du rapport, invoquent les
témoignages et les dossiers de plus de cent victimes présumées (100) de
la torture et, mauvais traitements que la « Commission de lutte conte
la torture » a abordé depuis l’an 2007, et qui montre que les médecins
experts participent à maintes reprises de façon active ou pas, à la
torture et le mauvais traitement.
Dans des
déclarations de presse, le porte parole de la commission Eden a aussi
indiqué que les victimes présumées de la torture sont tous des
palestiniennes suspectés d’être mélés à des affaires sécuritaires
Il
a ajouté que les preuves témoignent que les médecins en exercice y
participent à travers leur échec méthodologique d’enregistrer les
blessures des prisonniers de manière appropriée, d’ommettre de faire
part des mauvais traitements ou par le renvoi des détenus, même après le
constat de leurs blessures devant les enquêteurs.
Dans
certains cas ils ont remis aux enquêteurs, des ordonnances médicales
et, dans plusieurs autres cas ils faisaient valoir les intérêts de
l’enquête ou dépens de l’état du malade selon l’étude.
L’étude
a aussi fait mention que, le rapport en question révèle des preuves
importantes, attisant le suspicion que plusieurs médecins font la sourde
oreille aux plaintes de leurs malades et ont permis aux enquêteurs de
l’appareil sécuritaires israéliens de pratiquer la torture.
L’étude
indique également que les médecins exerçants ont montré de la
complaisance face à des moyens d’instructions interdits et le mauvais
traitement des détenus affaiblis ainsi que l’occultation des
informations ils ont par conséquence garantit l’immunité totale aux
tortionnaires.
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