[ 02/04/2011 - 08:26 ] |
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Ramallah- CPI Des dizaines de citoyens ont été asphyxiés lors de l'éclatement de violents affrotements avec les forces occupantes israéliennes qui torturent régulièrement les manifestants anti-mur de séparation raciste qui célèbrent leurs manifestations hebdomadaire chaque vendredi, à Bilin, Niline, al-Ma'ssara, Kasra et Aboud ainsi d'autre. Des dizaines d'habitants du village d'al Ma'ssara, au sud de Beithléem, ont été asphyxiés par le lancement du ga lacrymogène des forces occupantes israéliennes. Les manifestants du village de Niline, près de Ramallah, ont scandé des slogans appelant à l'unité nationale, à mettre fin aux désaccords, l'attachement aux principes, poursuivre la résistance contre l'occupation et la libération de tous les détenus, où des dizaines d'entre eux se sont exposés aux agressions barbares des forces de l'occupation israéliennes qui les ont attaqués par du gaz lacrymogène en causant des dizaines de cas d'asphyxie. Dans le même contexte, les soldats sionistes ont attaqué les habitants du village de Kasra, dans le sud-ouest de la ville de Naplouse, parmi ceux qui ont fait leur prière de Vendredi sur leurs terres menacées d'être confisquées par l'occupation et proches de la colonie de "Shilo". Ainsi, dans le village Aboud du nord de Ramallah l'armée de l'occupation israélienne a attaqué une activité de la culture d'oliviers à l'occasion du Jour de la Terre, où des sources locales ont déclaré que les soldats sionistes ont essayé d'harceler des jeunes et de les empêcher de continuer à planter les semis d'oliviers, en arrachant un certain nombre planté.. D'autre part, de violents affrontements ont éclaté, vendredi 1/4, après-midi, à proximité du quartier Al-Bustan, dans le sud de Silwan à la Mosquée d'al Aqsa, et les sources locales ont dit que les forces israéliennes ont lancé des dizaines de bombes sonores et de gaz lacrymogènes vers le quartier et aucun blessé n'a été signalé jusqu'à présent. Les forces occupantes israéliennes ont arrêté après la prière du vendredi, Selwan, les deux enfants Shweiki Annan, 14 ans, et Mahmoud Asaad Sergent, 15 ans, quand ils ont été près de la rue du martyr Samer Sarhan. |