01-04-2011 - L.Mazboudi
Un responsable israélien a assuré que le gouvernement israélien est entré en contact avec le gouvernement argentin pour s’enquérir d’une information publiée par un journal argentin, Perfil, selon lequel Buenos Aires n’est plus intéressée par la poursuite de l’enquête sur cette affaire et voudrait améliorer ses relations avec l’Iran.
Selon le site sioniste en ligne "Terre promise", l’entité sioniste envisage de riposter à cette décision, en éliminant la prochaine visite du chef de la diplomatie argentin, Hector Timmerman en « Israël ».
Le site se désole que ce dernier soit en personne impliquée dans cette position argentine, surtout qu’il est lui-même juif.
(Selon le site en ligne, Jérusalem Post, Timmerman est le fils de Jacobo Timmerman, journaliste juif emprisonné et torturé durant la "Sale guerre", en Argentine, de 1976 à 1983. Après sa libération en 1979, Timmerman s'est s'installé en « Israël », où il est devenu un redoutable critique de gauche, avant de repartir en Argentine en 1984).
Même le directeur de l’Agence juive Nathan Sharansky s’est chargé de l’affaire, et s’est rendu auprès de Timmerman. Directement après la rencontre, il a déclaré que « ce dernier est fermement attaché aux investigations ».
Ce qui n’a pas été confirmé par le ministère argentin qui s’est contenté de confirmer la rencontre, sans nullement aborder l’affaire de l’enquête ni son lien avec l’Iran.
Le quotidien argentin « Perfil » avait prétendu avoir en main une dépêche diplomatique iranienne, faisant état d’une proposition émanant des autorités argentines, sur leur disposition à renoncer aux investigations sur ces deux attentats.
Il rapporte des propos du chef de la diplomatie iranien, Ali Akbar Salehi, dans lesquels il aurait dit que « l’Argentine n’est plus intéressée par le fait de résoudre l’affaire des deux attentats, et préfère améliorer ses liens avec l’Iran ».
C’est le ministre des affaires étrangères argentin qui, selon le journal, aurait transmis la proposition de son pays à Téhéran via le président syrien Bachar ElAssad et son ministre des affaires étrangères Walid AlMouallem, lors d’une rencontre avec eux dans la ville d’Alep, située au nord de la Syrie.
« Terre promise » révèle que le reportage de « Perfil » a été réalisé par un célèbre journaliste argentin d’investigation de radiotélévision, José Pepe Eliaschev. A l’instar de Timmerman, il est lui aussi juif, mais par contre très pro-israélien. À cet égard, JPost assure qu’il est farouchement hostile à l’actuelle présidente argentine Cristina Kirchner et ne cesse de critiquer sa politique.
"Israël" ne s’est jamais lassé d’accuser l’Iran et le Hezbollah d’avoir perpétré ces deux attentats, sans jamais prouver ses accusations, et exerce toutes les pressions possibles sur l’Argentine, pour amener sa juridiction à les accuser .
À plusieurs reprises, des responsables iraniens en voyage (en Allemagne et en Grande Bretagne) ont été arrêtés puis relâchés, faute de preuves. Alors qu’aucun membre du Hezbollah n’ jamais été interpellé.
Au fil de l’enquête, la version israélienne et par extension américaine des faits est démentie par la Cour suprême argentine qui s’est, au contraire, orientée vers une piste israélienne.
La communauté juive en Argentine étant fortement anti sioniste, ce genre d’attentats devraient lui changer d’avis, affirme le journaliste et auteur français Thierry Meyssan.
Comme ce fut le cas lors de l’entente conclue entre le nazisme et le sionisme, avant et pendant la seconde guerre mondiale, pour terroriser les juifs dans le but de les persuader de fuir en Palestine.
Selon le site sioniste en ligne "Terre promise", l’entité sioniste envisage de riposter à cette décision, en éliminant la prochaine visite du chef de la diplomatie argentin, Hector Timmerman en « Israël ».
Le site se désole que ce dernier soit en personne impliquée dans cette position argentine, surtout qu’il est lui-même juif.
(Selon le site en ligne, Jérusalem Post, Timmerman est le fils de Jacobo Timmerman, journaliste juif emprisonné et torturé durant la "Sale guerre", en Argentine, de 1976 à 1983. Après sa libération en 1979, Timmerman s'est s'installé en « Israël », où il est devenu un redoutable critique de gauche, avant de repartir en Argentine en 1984).
Même le directeur de l’Agence juive Nathan Sharansky s’est chargé de l’affaire, et s’est rendu auprès de Timmerman. Directement après la rencontre, il a déclaré que « ce dernier est fermement attaché aux investigations ».
Ce qui n’a pas été confirmé par le ministère argentin qui s’est contenté de confirmer la rencontre, sans nullement aborder l’affaire de l’enquête ni son lien avec l’Iran.
Le quotidien argentin « Perfil » avait prétendu avoir en main une dépêche diplomatique iranienne, faisant état d’une proposition émanant des autorités argentines, sur leur disposition à renoncer aux investigations sur ces deux attentats.
Il rapporte des propos du chef de la diplomatie iranien, Ali Akbar Salehi, dans lesquels il aurait dit que « l’Argentine n’est plus intéressée par le fait de résoudre l’affaire des deux attentats, et préfère améliorer ses liens avec l’Iran ».
C’est le ministre des affaires étrangères argentin qui, selon le journal, aurait transmis la proposition de son pays à Téhéran via le président syrien Bachar ElAssad et son ministre des affaires étrangères Walid AlMouallem, lors d’une rencontre avec eux dans la ville d’Alep, située au nord de la Syrie.
« Terre promise » révèle que le reportage de « Perfil » a été réalisé par un célèbre journaliste argentin d’investigation de radiotélévision, José Pepe Eliaschev. A l’instar de Timmerman, il est lui aussi juif, mais par contre très pro-israélien. À cet égard, JPost assure qu’il est farouchement hostile à l’actuelle présidente argentine Cristina Kirchner et ne cesse de critiquer sa politique.
"Israël" ne s’est jamais lassé d’accuser l’Iran et le Hezbollah d’avoir perpétré ces deux attentats, sans jamais prouver ses accusations, et exerce toutes les pressions possibles sur l’Argentine, pour amener sa juridiction à les accuser .
À plusieurs reprises, des responsables iraniens en voyage (en Allemagne et en Grande Bretagne) ont été arrêtés puis relâchés, faute de preuves. Alors qu’aucun membre du Hezbollah n’ jamais été interpellé.
Au fil de l’enquête, la version israélienne et par extension américaine des faits est démentie par la Cour suprême argentine qui s’est, au contraire, orientée vers une piste israélienne.
La communauté juive en Argentine étant fortement anti sioniste, ce genre d’attentats devraient lui changer d’avis, affirme le journaliste et auteur français Thierry Meyssan.
Comme ce fut le cas lors de l’entente conclue entre le nazisme et le sionisme, avant et pendant la seconde guerre mondiale, pour terroriser les juifs dans le but de les persuader de fuir en Palestine.