| [ 17/04/2011 - 17:10 ] | 
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|             Naplouse – CPI Les autorités de l'occupation sionistes  ont intensifié leurs mesures oppressives contre les enfants  palestiniens, depuis le début de l'Intifada d'al-Aqsa en septembre 2000,  et à travers de multiples formes, où les forces de l'occupation  sionistes ont arrêté des milliers d'enfants palestiniens et les jetés  dans les prisons sionistes dans des conditions de vie et humaines très  difficiles, dans un pas de dissuasion sans précédente, où le nombre, des  enfants arrêtés et qui ont moins de 18 ans, a atteint un taux le plus  élevé parmi les détenus au cours de l'actuelle Intifada d'al-Aqsa. Le nombre d'enfants palestiniens, qui ont  été arrêtés pendant l'Intifada d'al-Aqsa et jusqu'à aujourd'hui, a  atteint 8500 enfants détenus dont environ 245 sont encore en  détention où ils subissentdes violations très flagrantes, attaques  répétées, divers types de torture, d'humiliation, et de traitement cruel  et inhumain. depuis les premiers moments de leur arrestation, passant  aux divers centres d'enquête et leur sort se finit par la souffrance  dans les prisons. Les autorités occupantes violent solennellement les droits légaux des enfants qu'elles incacèrent et les privent en violation claire des lois et les conventions internationales qui garantissent leur droit à la liberté et des procès équitables pour eux. "L'Organisation de la solidarité  internationale pour les droits de l'homme" a déclaré qu'elle possède des  informations que de grandes nombres d'enfants détenus se sont exposés  ou s'exposent encore aux tortures par les soldats sionistes, lors des  opérations d'arrestation dans lesquelles participent toujours des unités  spéciales des Arabisants (Soldats sionistes portant des vêtements  arabes), comme c'était le cas dans le village de Selwan dans la ville  occupée d'al-Qods où les soldats sionistes frappaient les enfants  sauvagement, en plus l'utilisation de la torture et la pression  psychologique d'une manière plus large pendants les périodes d'enquêtes  contre les enfants détenus, ce qui a exigé le transfert d'un certain  nombre d'entre eux aux hôpitaux sionistes. L'Organisation a attiré l'attention aux  méthodes brutales que subissent les enfants emprisonés, des coup sans  discernement sur toutes les parties du corps, les harcèlements sexuels  et les menaces répétées d'allonger leur durée d'enquête, ainsi que  d'autres méthodes criminelles, y compris la privation de leur droit à  rencontrer des avocats, en plus de plusieurs violations perpétuelles et  délibérées. "Le silence de l'administration  pénitentiaire sioniste au fil des années face aux violations répétées a  conduit à la croissance de ces violations par les soldats, ce qui a  incité les prisonniers palestiniens à la nécessité de défendre les  enfants détenus et à annoncer un certain nombre de mesures de  protestation, y compris l'annonce des grèves de la faim d'alerte dans la  prison d'Ashkelon, Hadarim, Nafha et Chata, ce qui suggère que le titre  de la prochaine bataille entre le mouvement des prisonniers et  l'administration pénitentiaire sera l'amélioration des situations des  enfants palestiniens qui souffrent extrêmement dans les geôles  sionistes.      Des jugements durs volant leur enfance      Dans le cadre de la guerre annoncée par les forces de l'occupation sioniste contre les enfants palestiniens, les tribunaux sionistes ont renforcé et élevé le niveau des jugements et condamnations prises contre les enfants, pour parvenir à la peine d'emprisonnement ferme, de près d'un an et demi ou plus, contre tout enfant accusé d'avoir jeté des pierres, alors qu'elle n'était pas que 6 mois avant l'Intifada d'al-Aqsa. L'administration pénitentiaire prive  également le droit des enfants palestiniens détenus à l'éducation et à  l'achat des livres, la radio et la Télévision,  ainsi que la pratique des sports. En plus, ils souffrent d'une grave  pénurie de vêtements et matériel de nettoyage, ainsi que les pressions  psychologiques à cause de la coupure des visites de leurs familles,  depuis le déclanchement de l'Intifada. L'Organisation de la solidarité  internationale pour les droits de l'homme a confirmé que les autorités  sionistes par ces violations commises contre les enfants palestiniens,  violent manifestement la convention des droits de l'enfant signé en 1989  et approuvée par l'entité sioniste, le 4/8/1992; et toutes les normes  internationales, y compris des normes minimales de la justice pour  mineurs de 1985 et la Convention contre la torture. Le rapport a insisté que la détention des  enfants entre les détenus pénaux est une violation des dispositions de  l'article N° 76 de la quatrième Convention de Genève en 1949. L'Organisation a finalement demandé le  gouvernement sioniste de respecter les accords et les conventions  internationales et à libérer tous immédiatement les enfants  palestiniens.  |