Tel Aviv - PNN - George Mitchell envoyé spécial au Moyen-Orient pour les  États-Unis, pourrait voir son poste confier à quelqu'un d'autre. 
 Le journal israélien Ma'ariv a annoncé lundi que l'administration  américaine pourrait remplacer George Mitchell, l'envoyé spécial pour le  Moyen-Orient, par les assistants de l'ancien président Clinton, Martin  Indik ou Dennis Ross. 
Selon Ma'ariv toujours, les raisons de ce changement seraient d'une part  l'échec de Mitchell dans le processus de négociation entamé début  septembre, ainsi que la volonté de Washington "d'importer du sang  nouveau" dans le processus de paix.
L'article de Ma'ariv mentionne, Martin Indyk, ancien ambassadeur des États-Unis en Israël, comme successeur potentiel au poste de Mitchell. Une autre possibilité, mise en avant par le site d'information américain Politico, serait que Indyk doivent travailler en collaboration dans le processus de négociations avec Dennis Ross, ancien conseillé du président Clinton, qui a déjà travailler avec les israéliens.
L'article de Ma'ariv mentionne, Martin Indyk, ancien ambassadeur des États-Unis en Israël, comme successeur potentiel au poste de Mitchell. Une autre possibilité, mise en avant par le site d'information américain Politico, serait que Indyk doivent travailler en collaboration dans le processus de négociations avec Dennis Ross, ancien conseillé du président Clinton, qui a déjà travailler avec les israéliens.
Ma'ariv a expliqué recevoir des rapports depuis plusieurs mois, faisant  part de tensions grandissantes entre Mitchell et Ross à la Maison  Blanche, notamment concernant le moyen à utiliser pour inciter le  premier ministre israélien Benyamin Netanyahu à reprendre les  négociations de paix. Ross refuse d'appliquer plus de pressions sur  Netanyahu, affirmant que de telles mesures seraient contre-productives.  Au contraire, il croit nécessaire de "travailler de concert avec les  israéliens pour mieux les comprendre." Cette position change de celle de  Mitchell et son équipe, qui voudrait mettre plus de pression à  Netanyahu.
Cependant, cette information n'est encore qu'une rumeur car, à l'heure actuelle, aucune source officielle américaine ne l'a confirmé.
Cependant, cette information n'est encore qu'une rumeur car, à l'heure actuelle, aucune source officielle américaine ne l'a confirmé.