| [ 01/07/2010 - 02:13 ] | 
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|             Gaza – CPI Le service de sécurité palestinien de  la bande de Gaza a effectué un pas de géant dans sa guerre de cerveaux  contre les services de renseignements sionistes. Il a réussi à étouffer  de plus en plus les traîtres et dévoiler les réseaux d’espionnage  travaillant pour les occupants israéliens.      Viser la femme palestinienne    Contre toute attente, la dernière  découverte est une femme. Cette femme a travaillé pour les occupants  pendant cinq ans sans arrêt. Cette découverte a montré encore une fois  que les occupants israéliens visent tous les Palestiniens, hommes,  femmes, enfants, sans aucune distinction et avec mépris. Selon le site sécuritaire Al-Madj, cette  femme croyait que personne ne pouvait découvrir son petit jeu, son  contact avec les occupants Elle ne pensait pas une seconde pouvoir être  prise la main dans le sac par son mari. Malgré tout, le nombre de femmes ayant  travaillé pour le compte des occupants israéliens s’avère beaucoup moins  important que celui des hommes. Mais le problème, c’est qu’elles sont  plus dangereuses. En effet, dans la société palestinienne,  la femme peut obtenir des informations minutieuses, étant bien  respectée. Elle est au-dessus de tout soupçon. Engager des femmes palestiniennes fait  partie de ces agissements israéliens visant à déchirer le tissu social  palestinien et la famille palestinienne. Ces traîtres sont des fruits  pourris qui pourrissent tout ce qui les entoure : familles, amis,  voisins, tous. Les services de renseignements sionistes  fournissent à leurs agents des moyens de communication des plus  modernes. Le ministère de l’intérieur a mis la main sur des appareils  avec lesquels les traîtres contactent leurs employeurs. Et avec ces  mêmes appareils, des signes sont donnés pour qu’ils ne soient pas  frappés au moment d’un bombardement. Ils ont aussi mis la main sur des  appareils qui peuvent relier les ordinateurs de la bande de Gaza à ceux  d’Israéliens pour pomper toutes les archives.      Une guerre contre les  traîtres    Notons que face à ces découvertes, le  ministère de l’intérieur de la bande de Gaza a laissé la porte ouverte  devant toute volonté de repentance de la part de ceux qui communiquent  avec les ennemis. Notons aussi que les occupants israéliens  ont utilisé des informations fournis par de tels agents durant la guerre  agressive israélienne menée contre Gaza. Les buts ont été frappés.  Cependant, les traîtres ont été connus et nombre d’entre eux ont été  liquidés. L’espionnage fait partie de la guerre  militaire et psychologique menée contre le peuple palestinien, dit à  l’envoyé de notre Centre Palestinien d’Information (CPI) Anouar  Al-Baraaoui, directeur du conseil politique et moral de Gaza.      Peu nombreuses mais  dangereuses    Dans la plupart des cas, l’affaire d’une  « femme traître » reste silencieuse, pour des raisons sociales. Elle  sera réglée hors des bureaux de la sécurité, au sein des familles. Leur nombre est très limité, mais il  suffit de deux femmes ou même d’une seule afin de faire de grands  dégâts, dit Al-Maghazi. Elles sont les plus proches des résistants. Le travail confié à une femme pourra être  assez souvent logistique : transporter de l’argent, être un lien entre  des agents… Enfin, il a insisté à dire que la porte de  la repentance est toujours ouverte et que pour une femme, cette  repentance est plus facile, car le ministère fait tout pour la protéger.  |