| [ 08/05/2010 - 16:06 ] | 
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|             Londres - CPI      Le Quotidien britannique, The Independent, a  souligné, le vendredi 7/5), qu’après sept ans du meurtre de l'activiste  américaine, Rachel Corrie, écrasée par un bulldozer de l'armée  israélienne, dans la Bande de Gaza, de nouvelles données contre  le commandant militaire sioniste, à Gaza, durant cette époque pour  tenter de tromper les enquêtes officielles sur l'incident mortel. The Independent a ajouté : "Que   l'intervention du général sioniste, Doron Almog, qui dirigeait la  soi-disant armée de leadership sioniste Sud, a été enregistrée dans le  témoignage obtenu par la police militaire sionisme durant la  2ème journée de la mort de Corrie, le 16 mars 2003, après que le journal  britannique a examiné le témoignage sous serment concernant  ce dossier". Selon le rapport des enquêteurs sioniste  de la police militaire, qui a été publié actuellement au grand jour,  que le commandant du bulldozer «D–9» témoignait lorsqu'un colonel de  l'armée israélienne envoyé par le général Almog entra dans la salle en interrompant son  témoignage. L’enquêteur de la police a inscrit comme suit : "A 18h12, le colonel de réserve Baruch Kerhato, est entré dans la chambre d'enquête en disant au témoin qu'il ne faut pas faire de témoignage, ni rien écrire, et que ces ordres viennent du général et commandant du Commandement Sud". De sa part l’avocat de la famille de  Corrie, Saïd Hussein Abou Hussein, a confirmé que l'intervention du  général "Almog, a empêché  la possibilité de parvenir à des preuves qui  pourraient déterminer la vérité sur les déclarations de Valermov, s'il  a vu Corrie ou non.  Il a ajouté : "Dois-je le croire? Bien sûr  que non, car il n'y a aucun doute que l’incident du meurtre était  délibérément, et nous disons, premièrement, que l'État de l'occupation  est responsable de la mort de Corrie et que l'enquête n'avait pas  respecté les règles de l'enquête".   |